La vie sur le Nil fait appel à une foule de petits bateaux de service. En voilà quelques-uns. Commençons par quelques barges ou barques transportant les récoltes vers les marchés ou les usines (pour la canne à sucre).
Et puis, pour abreuver en mazout tous ces navires de croisière qui sillonnent le Nil, il faut aussi bon nombre de barques station service , souvent aussi équipées pour de petits dépannages, et qui viennent se coller aux monstres.
De petits caboteurs servent à tirer les felouques de luxe – voir article précédent du 10 juillet 2007, l'épisode sur les felouques (Bords sur le Nil) – afin qu’elles respectent les horaires de leur circuit quand le vent n'est pas de la partie.
De nombreux transbordeurs assez rustiques facilitent le passage d'un rive à l'autre du fleuve. Ils sont beaucoup moins chers que les felouques ou les barques et donc fréquentés par le petit peuple qui vit à l'ombre des hôtels de luxe.
Sur le photo ci-dessus, on distingue le bateau bleu de la police au bout du ponton des felouques.
Voici d'autres photos de cette police du Nil, généralement très discrète.
Sans transition, il ne faut pas oublier que le Nil reste relativement propre, particulièrement dans les zones touristiques entre Louksor et Assouan, grâce à un système de ramassage des ordures. Voici l'itinéraire des bateaux-poubelles.
Ramassage dans les cuisines des bateaux de croisière.
Traitement des déchets. Ici, comme souvent dans les pays en voie de développement,
rien ne se perd !
Pour finir, voici quelques bateaux-pompes des bords du Nil…
et un peu de matériel de pompier pour faire plaisir à Gilles Barnichon que vous pouvez retrouver sur son blog : www.enginsdepompiers.blogspot.com
Fin du carnet de voyage Bords du Nil.
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