«Souvent pour s'amuser, les hommes d'équipage prennent des malamoks…»Dans les parages du cap Horn, capture d'un malamok (sorte de petit albatros) à bord de l'Union.
(© Musée international du long-cours cap hornier, Saint-Malo)
Signaux au pavillon à bord du Cassard. (© Musée international du long-cours cap hornier)
Entre deux quarts sur le pont, la fidèle compagnie du petit modèle (bateau en bouteille).
Dimanche à bord de Françoise-d’Amboise. Dans les grands beaux temps, la danse entre marins au son de l’accordéon (à droite).
En "hôtesse" à Nantes : quinze jours de liesse contre six mois de solde… et un embarquement assuré pour le cap Horn.
Une vieille tradition long-courrière : l’embarquement entre les "brasse-carré".**Le terme "brassé Carré" désignait les gendarmes dans l'argot maritime. Ce surnon vient du temps où ils étaient coiffés du bicorne, porté perpendiculairement au visage (et non dans l'axe avant-arrière comme les marins en tenue officielle jusqu'à la guerre de 40). Leur bicorne était " brassé carré " comme les vergue des grands voiliers. Une chanson de marin dit : «et brassons bien partout carré, nous serons vent arrière». Un navire "brassé-carré" avance par vent arrière, avec les vergues perpendiculaires à l'axe du bateau.
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