vendredi 17 août 2007

Morgue sur le Nil (2e épisode )

Ce n'est pas sans une certaine morgue que les bateaux de croisière touristique s'imposent sur les bords du Nil.



Mais à côté d'unités neuves, dégoulinantes d'un luxe tapageur, des bâtiments plus discrets ne sont que d'anciens ferries réhabilités. Les marques de leur ancienne destination se lisent parfois encore sur les coques.







Quoi qu'il en soit, ils contrastent tous avec la misère des campagnes, même si les habitants des rives, aux escales fréquentées par les voyageurs étrangers, bénéficient un peu des retombées de la manne touristique, essentielle au pays.







Et il est inutile de regretter le bon vieux temps de Mort sur le Nil, même si on en garde quelques traces du côté des cataractes d'Assouan.



Parfois, à l'occasion d'une escale, la vraie vie rattrape les touristes, qui ne s'étaient peut-être même pas demandé quels cuistots étaient derrière les buffets pantagruéliques servis à bord trois fois par jour,



ou au passage de l'écluse d'Edna.




dont profite le marchand de journaux populaires.



Mais tirons les rideaux sur cet aspect de la vie du Nil.



Toutefois, avant de passer à un autre sujet, remarquons combien ces bateaux de croisière peuvent s'adapter à l'architecture des villes. Fénêtres des uns et fenêtres des autres sont en parfaite harmonie. Pharaon doit se retourner dans son sarcophage !










Morgue sur le Nil (2e épisode )

Ce n'est pas sans une certaine morgue que les bateaux de croisière touristique s'imposent sur les bords du Nil.



Mais à côté d'unités neuves, dégoulinantes d'un luxe tapageur, des bâtiments plus discrets ne sont que d'anciens ferries réhabilités. Les marques de leur ancienne destination se lisent parfois encore sur les coques.







Quoi qu'il en soit, ils contrastent tous avec la misère des campagnes, même si les habitants des rives, aux escales fréquentées par les voyageurs étrangers, bénéficient un peu des retombées de la manne touristique, essentielle au pays.







Et il est inutile de regretter le bon vieux temps de Mort sur le Nil, même si on en garde quelques traces du côté des cataractes d'Assouan.



Parfois, à l'occasion d'une escale, la vraie vie rattrape les touristes, qui ne s'étaient peut-être même pas demandé quels cuistots étaient derrière les buffets pantagruéliques servis à bord trois fois par jour,



ou au passage de l'écluse d'Edna.




dont profite le marchand de journaux populaires.



Mais tirons les rideaux sur cet aspect de la vie du Nil.



Toutefois, avant de passer à un autre sujet, remarquons combien ces bateaux de croisière peuvent s'adapter à l'architecture des villes. Fénêtres des uns et fenêtres des autres sont en parfaite harmonie. Pharaon doit se retourner dans son sarcophage !