L'archipel des Canaries est confronté à un important problème d'immigration clandestine. Voici une embarcation de la Garde Civile espagnole, basée à Los Christianos, port du sud de l'île de Ténériffe :
Sur ce même sujet d'immigration clandestine, voir un cliché sur le très intéressant site Net-Marine.net
Histoire maritime internationale - Marines marchande ou de guerre - Grands et petits voiliers - Culture maritime (antiquariat, memorabilia, littérature, peinture…) - Tout ce qui concerne la mer et les lacs et ceux qui naviguent dessus (ou dessous) nous passionne…
jeudi 3 janvier 2008
Canaries
Après Funchal et les décorations murales de son port, nous vous proposons de revenir quelques kilomètres plus au sud, dans l'archipel espagnol des Canaries et plus précisément à Las Palmas de Gran Canaria. Il s'y trouve un important port militaire
mais l'île est également le port d'escale de nombreux paquebots de croisière. Et si celui-ci est bien connu :
ce n'est pas le cas de ce dernier aux allures de paquebot fluvial dont le nom "La Belle de l'Adriatique" laisse rêveur quand on le rencontre amarré dans une île de l'Atlantique...
Des précisions le concernant se trouvent ici, sur le site du croisièriste CroisiEurope, ainsi que des photos de sa construction. Encore quelques clichés de navires rencontrés à Gran Canaria :
ou dans le port de Ténériffe : TRAVELLER, immmatriculé à Amsterdam
et la frégate britannique PORTLAND (F 79)
Notre ami Philippe Gimbret nous donne les précisions suivantes au sujet de ce bâtiment et nous l'en remercions. Frégate du type 23, classe Duke.
Chantier ''Yarrow'' à Scotstoun. Sur cale : 14-01-1998, lancé : 15-05-1999 ; En service : 03-05-2001
Déplacement : 3.500 t. st. / 4.200 t. p.c. Dimensions : 133 m. l.h.t. ( 123 m. p.p.) x 16,10 m. x 7,30 m.
Equipage : 185 : 17 off., 57 off. mar. et 111 h.
Machinerie type CODLAG (combined diesel-electric and gas) comprenant deux turbines à gaz Rolls Royce SpeySM 1 C de 26.150 ch / 19.220 kW (chacune) et quatre diesels-alternateur s Paxman-Valenta 12 RPA 200 CZ de 5.200 ch / 3.820 kW (chacun) associés à deux moteurs électriques de propulsion GEC de 2.000 ch / 1.470 kW (chacun). Puissance totale : 56.300 ch / 41.380 kW Vitesse : 28 noeuds
Distance franchissable : 7.000 milles à 17 n., 8.000 m. à 15 n. ou 12.000 m. à 12 n.
Armement : 8 / Harpoon (2 x IV), 1 syst. Sea Wolf GWS 26 mod 1 (32 silos de lancement vertical), 1/114 mm A.A. Mk 8, 2 / 30 mm A.A., 4 tubes ASM intérieurs (2xII) pour torpilles Sting Ray, un hélicoptère Merlin ou Lynx.
mais l'île est également le port d'escale de nombreux paquebots de croisière. Et si celui-ci est bien connu :
ce n'est pas le cas de ce dernier aux allures de paquebot fluvial dont le nom "La Belle de l'Adriatique" laisse rêveur quand on le rencontre amarré dans une île de l'Atlantique...
Des précisions le concernant se trouvent ici, sur le site du croisièriste CroisiEurope, ainsi que des photos de sa construction. Encore quelques clichés de navires rencontrés à Gran Canaria :
ou dans le port de Ténériffe : TRAVELLER, immmatriculé à Amsterdam
et la frégate britannique PORTLAND (F 79)
Notre ami Philippe Gimbret nous donne les précisions suivantes au sujet de ce bâtiment et nous l'en remercions. Frégate du type 23, classe Duke.
Chantier ''Yarrow'' à Scotstoun. Sur cale : 14-01-1998, lancé : 15-05-1999 ; En service : 03-05-2001
Déplacement : 3.500 t. st. / 4.200 t. p.c. Dimensions : 133 m. l.h.t. ( 123 m. p.p.) x 16,10 m. x 7,30 m.
Equipage : 185 : 17 off., 57 off. mar. et 111 h.
Machinerie type CODLAG (combined diesel-electric and gas) comprenant deux turbines à gaz Rolls Royce SpeySM 1 C de 26.150 ch / 19.220 kW (chacune) et quatre diesels-alternateur s Paxman-Valenta 12 RPA 200 CZ de 5.200 ch / 3.820 kW (chacun) associés à deux moteurs électriques de propulsion GEC de 2.000 ch / 1.470 kW (chacun). Puissance totale : 56.300 ch / 41.380 kW Vitesse : 28 noeuds
Distance franchissable : 7.000 milles à 17 n., 8.000 m. à 15 n. ou 12.000 m. à 12 n.
Armement : 8 / Harpoon (2 x IV), 1 syst. Sea Wolf GWS 26 mod 1 (32 silos de lancement vertical), 1/114 mm A.A. Mk 8, 2 / 30 mm A.A., 4 tubes ASM intérieurs (2xII) pour torpilles Sting Ray, un hélicoptère Merlin ou Lynx.
Canaries
Après Funchal et les décorations murales de son port, nous vous proposons de revenir quelques kilomètres plus au sud, dans l'archipel espagnol des Canaries et plus précisément à Las Palmas de Gran Canaria. Il s'y trouve un important port militaire
mais l'île est également le port d'escale de nombreux paquebots de croisière. Et si celui-ci est bien connu :
ce n'est pas le cas de ce dernier aux allures de paquebot fluvial dont le nom "La Belle de l'Adriatique" laisse rêveur quand on le rencontre amarré dans une île de l'Atlantique...
Des précisions le concernant se trouvent ici, sur le site du croisièriste CroisiEurope, ainsi que des photos de sa construction. Encore quelques clichés de navires rencontrés à Gran Canaria :
ou dans le port de Ténériffe : TRAVELLER, immmatriculé à Amsterdam
et la frégate britannique PORTLAND (F 79)
Notre ami Philippe Gimbret nous donne les précisions suivantes au sujet de ce bâtiment et nous l'en remercions. Frégate du type 23, classe Duke.
Chantier ''Yarrow'' à Scotstoun. Sur cale : 14-01-1998, lancé : 15-05-1999 ; En service : 03-05-2001
Déplacement : 3.500 t. st. / 4.200 t. p.c. Dimensions : 133 m. l.h.t. ( 123 m. p.p.) x 16,10 m. x 7,30 m.
Equipage : 185 : 17 off., 57 off. mar. et 111 h.
Machinerie type CODLAG (combined diesel-electric and gas) comprenant deux turbines à gaz Rolls Royce SpeySM 1 C de 26.150 ch / 19.220 kW (chacune) et quatre diesels-alternateur s Paxman-Valenta 12 RPA 200 CZ de 5.200 ch / 3.820 kW (chacun) associés à deux moteurs électriques de propulsion GEC de 2.000 ch / 1.470 kW (chacun). Puissance totale : 56.300 ch / 41.380 kW Vitesse : 28 noeuds
Distance franchissable : 7.000 milles à 17 n., 8.000 m. à 15 n. ou 12.000 m. à 12 n.
Armement : 8 / Harpoon (2 x IV), 1 syst. Sea Wolf GWS 26 mod 1 (32 silos de lancement vertical), 1/114 mm A.A. Mk 8, 2 / 30 mm A.A., 4 tubes ASM intérieurs (2xII) pour torpilles Sting Ray, un hélicoptère Merlin ou Lynx.
mais l'île est également le port d'escale de nombreux paquebots de croisière. Et si celui-ci est bien connu :
ce n'est pas le cas de ce dernier aux allures de paquebot fluvial dont le nom "La Belle de l'Adriatique" laisse rêveur quand on le rencontre amarré dans une île de l'Atlantique...
Des précisions le concernant se trouvent ici, sur le site du croisièriste CroisiEurope, ainsi que des photos de sa construction. Encore quelques clichés de navires rencontrés à Gran Canaria :
ou dans le port de Ténériffe : TRAVELLER, immmatriculé à Amsterdam
et la frégate britannique PORTLAND (F 79)
Notre ami Philippe Gimbret nous donne les précisions suivantes au sujet de ce bâtiment et nous l'en remercions. Frégate du type 23, classe Duke.
Chantier ''Yarrow'' à Scotstoun. Sur cale : 14-01-1998, lancé : 15-05-1999 ; En service : 03-05-2001
Déplacement : 3.500 t. st. / 4.200 t. p.c. Dimensions : 133 m. l.h.t. ( 123 m. p.p.) x 16,10 m. x 7,30 m.
Equipage : 185 : 17 off., 57 off. mar. et 111 h.
Machinerie type CODLAG (combined diesel-electric and gas) comprenant deux turbines à gaz Rolls Royce SpeySM 1 C de 26.150 ch / 19.220 kW (chacune) et quatre diesels-alternateur s Paxman-Valenta 12 RPA 200 CZ de 5.200 ch / 3.820 kW (chacun) associés à deux moteurs électriques de propulsion GEC de 2.000 ch / 1.470 kW (chacun). Puissance totale : 56.300 ch / 41.380 kW Vitesse : 28 noeuds
Distance franchissable : 7.000 milles à 17 n., 8.000 m. à 15 n. ou 12.000 m. à 12 n.
Armement : 8 / Harpoon (2 x IV), 1 syst. Sea Wolf GWS 26 mod 1 (32 silos de lancement vertical), 1/114 mm A.A. Mk 8, 2 / 30 mm A.A., 4 tubes ASM intérieurs (2xII) pour torpilles Sting Ray, un hélicoptère Merlin ou Lynx.
Les murales des quais de Funchal (suite 2 et fin)
Voici les dernières photos de murales des quais de Funchal, prises par Daniel Hillion. Le projet de livre sur le sujet est toujours dans nos cartons. Si vous souhaitez y participer, écrivez-nous à : editionsmdv@yahoo.fr
Vous pouvez également poursuivre la rubrique si vous possédez des photos du même genre.
On ne présente plus le plus grand cinq‑mâts du monde. Mais si vous voulez plus d'informations sur ce "village" flottant, rendez-vous sur son site. Et pour plus de détails techniques sur le site Web Croisières.
La prochaine transat ne faisant pas un tabac, il y aurait une grosse remise pour les amateurs !
Notre cher Belem a eu, lui aussi, les honneurs des quais de Funchal. Le mieux est de se rendre sur le site de la Fondation Belem pour découvrir en détail ce navire école pour tous.
Mais vous pouvez aussi le découvrir sous toutes ses coutures sur le site personnel
de Myriam Villert, Gréements.com. Un site que nous recommandons. Myriam, malgré son coup de cœur pour le Belem, parle aussi d'autres belle voilures.
Quant au trois mâts carré Georg Stage, c'est l'un des plus anciens (1934) parmi les grands voiliers en état de naviguer. (source Grands Voiliers.com).
C’est sur le site de Cherbourg que l'on trouve un résumé
de la vie de ce bateau école polonais. Le Pogoria a été construit en 1980 aux chantiers de Gdansk. Dessiné par l’architecte Zygmunt Choren (surnommé Cap Choren pour avoir passé le Cap Horn lors de la première Whitbread), le Pogoria est un magnifique trois-mâts métallique à voiles carrées.
Source : Paris-Normandie
Quant à Altair, ce n'est sûrement pas l'Altaïr, goélette immortelle de 1931 signée William Fife III. Cela ne ressemble pas à un bâtiment remorqueur de sonar qui porte le même nom. Ce n'est pas un type de vedette, ni l'un de ces monstrueux transports de troupe américains, pourtant construits aux Pays-bas. Non, je donne ma langue au chat, Altair, ce Hollandais restera fantôme ! et "le capitaine de son âme restera maître de sa foi"...
On ne présente pas non plus les Costa lines. Voir à ce sujet, notre article "Costa règne sur la Méditerranée", dans notre Revue de presse du 15 décembre.
Pour changer un peu, commençons par les frégates lance-missiles de la classe FFG-7 Oliver Hazard Perry.
Les F81 Santa Maria (photo ci-dessus) et F83 Numancia (voir Los barcos de Eugenio)
équipent la marine espagnole ainsi que quatre autres bâtiments du même type (F82 Victoria, F84 Reina Sofia, F85 Navarra et F86 Canarias). En plus de celle des Etats-Unis, les marines australienne, égyptienne, turque, polonaise et du Bahreïn en sont dotées.
Concepteur : Bath IW / Todd (Etats-Unis)
Propulsion : 2 TG General Electric LM 2500 d’une puissance de 40 000 ch - 1 hélice
Puissance : 3000 kW Vitesse maximale : 29 nœuds Distance franchissable : 4 200 km à 20 noeuds, 5 000 km à 18 noeuds Déplacement : 3 900 tonneaux Longueur : 138,80 m Largeur : 13,72 m
Armement : Conséquent, lanceurs de missiles, canons, lance-torpilles, etc. Pour en savoir plus, rendez-vous sur le site Avions militaires.Net (!?!!)
Quant à la signature şIşE SELIM, je ne possède pas assez de turque pour savoir s'il s'agit du nom d'un bateau ou de celui d'un gars qui passait par là...
En revanche, le SV Concordia est un autre bâtiment-école, construit spécialement à cet effet (vous pouvez suivre son itinéraire sur le site de l'école, il est actuellement au large du Sénégal, faisant route vers le Brésil). Son équipage d'étudiants est cosmopolite comme l'indique la banderole faite de drapeaux de divers pays mais son armement est canadien comme le montre la grande et rouge feuille d'érable qui ponctue le Concordia.
Il appartient au même groupe de formation à bord canadien que le Fryderyk Chopin dont nous avions déjà parlé dans cette rubrique puisque ses marins avaient aussi laissé la trace de leur passage sur les murs des quais de Funchal.
Le premier Endeavour célèbre fut celui du capitaine Cook. Construit en Angleterre en 1764, il était destiné à des voyages de découverte. Long de 30 mètres et large de 9, ce trois-mâts était sous le commandement du célèbre explorateur pendant sa campagne de 1768 vers les îles du Pacifique, puis, en 1769 pour la découverte de la Nouvelle-Zélande.
The Endeavour was built in England as an exploration ship in 1764. Long of 30 meters and broad of 9, this three-masted boat was under command by Captain Cook during the 1768 mission towards the islands of the Pacific, then in 1769 at the time of discovery of New-Zealand.Nul n'ignore l'existence d'un superbe classe J qui porte aussi ce nom, ni la série plus modeste des Endeavour, magnifiques bateaux de course et de plaisance. Mais aucun ne ressemble à ce dessin. Il s'agit probablement d'une étonnante réplique de l'Endeavour d'origine, le HM Bark Endeavour, construit à la fin des années quatre-vingt en Australie. (voir le site Bluewater).
Ce bateau-musée est rentré en Australie en 2005 après onze sur les mers du globe. Il est maintenu en état de marche pour pouvoir aller de porte en port sur les côtes australiennes.
Pour en savoir plus sur la construction de cette réplique, le site, en anglais, de l'Australian national maritime museum.
A noter, l'existence d'une autre copie de l'Endeavour, à Stockton on Tees, en Angleterre, ouverte pour receptions et banquets. www.hmbarkendeavour.co.uk
Voici le dernier de nos dessins. Pas facile de s'y retrouver dans cette superposition de tags.
Si l'on en croit la liste des dates inscrites sous son dessin, l'Eendracht (voir Les amis des grands voiliers) est un habitué du port de Funchal. Il s'agit d'un trois-mâts goélette hoillandais qui sert de navire-école au sens le plus large car il reçoit toutes sortes de populations.
Sous un grand drapeau grec, le Roald Admunsen (voir Les amis des grands voiliers), cet autre grand voilier, allemand, est plus directement destiné à l'éducation à la voile. Ce brick à coque d'acier reçoit les stagiaires de l'association "apprendre à vivre sur un voilier".
Autre élément de la flotte royale espagnole, la P 79 Vencedora nous a permis de découvrir un site intéressant Fotos de barcos (uniquement en espagnol), un forum pour photographes de marine très diversifié.
Le sigle représentant une ancre et une étoile, entouré des mots "Odessa" et "Mer noire" en russe et en anglais nous est resté une énigme. Sur les nombreux sites qui recensent les navires de la Mer noire et plus généralement la marine russe, pas un seul Odessa. Dommage de terminer nos recherches par cette petite déception.
Le capitaine en second (Gençkaptan) Denis Bayir était-il à bord du bateau turque Beykozlu ? Dernière énigme !
A bientôt pour d’autres aventures.
Vous pouvez également poursuivre la rubrique si vous possédez des photos du même genre.
On ne présente plus le plus grand cinq‑mâts du monde. Mais si vous voulez plus d'informations sur ce "village" flottant, rendez-vous sur son site. Et pour plus de détails techniques sur le site Web Croisières.
La prochaine transat ne faisant pas un tabac, il y aurait une grosse remise pour les amateurs !
Notre cher Belem a eu, lui aussi, les honneurs des quais de Funchal. Le mieux est de se rendre sur le site de la Fondation Belem pour découvrir en détail ce navire école pour tous.
Mais vous pouvez aussi le découvrir sous toutes ses coutures sur le site personnel
de Myriam Villert, Gréements.com. Un site que nous recommandons. Myriam, malgré son coup de cœur pour le Belem, parle aussi d'autres belle voilures.
Quant au trois mâts carré Georg Stage, c'est l'un des plus anciens (1934) parmi les grands voiliers en état de naviguer. (source Grands Voiliers.com).
C’est sur le site de Cherbourg que l'on trouve un résumé
de la vie de ce bateau école polonais. Le Pogoria a été construit en 1980 aux chantiers de Gdansk. Dessiné par l’architecte Zygmunt Choren (surnommé Cap Choren pour avoir passé le Cap Horn lors de la première Whitbread), le Pogoria est un magnifique trois-mâts métallique à voiles carrées.
Source : Paris-Normandie
Quant à Altair, ce n'est sûrement pas l'Altaïr, goélette immortelle de 1931 signée William Fife III. Cela ne ressemble pas à un bâtiment remorqueur de sonar qui porte le même nom. Ce n'est pas un type de vedette, ni l'un de ces monstrueux transports de troupe américains, pourtant construits aux Pays-bas. Non, je donne ma langue au chat, Altair, ce Hollandais restera fantôme ! et "le capitaine de son âme restera maître de sa foi"...
On ne présente pas non plus les Costa lines. Voir à ce sujet, notre article "Costa règne sur la Méditerranée", dans notre Revue de presse du 15 décembre.
Pour changer un peu, commençons par les frégates lance-missiles de la classe FFG-7 Oliver Hazard Perry.
Les F81 Santa Maria (photo ci-dessus) et F83 Numancia (voir Los barcos de Eugenio)
équipent la marine espagnole ainsi que quatre autres bâtiments du même type (F82 Victoria, F84 Reina Sofia, F85 Navarra et F86 Canarias). En plus de celle des Etats-Unis, les marines australienne, égyptienne, turque, polonaise et du Bahreïn en sont dotées.
Concepteur : Bath IW / Todd (Etats-Unis)
Propulsion : 2 TG General Electric LM 2500 d’une puissance de 40 000 ch - 1 hélice
Puissance : 3000 kW Vitesse maximale : 29 nœuds Distance franchissable : 4 200 km à 20 noeuds, 5 000 km à 18 noeuds Déplacement : 3 900 tonneaux Longueur : 138,80 m Largeur : 13,72 m
Armement : Conséquent, lanceurs de missiles, canons, lance-torpilles, etc. Pour en savoir plus, rendez-vous sur le site Avions militaires.Net (!?!!)
Quant à la signature şIşE SELIM, je ne possède pas assez de turque pour savoir s'il s'agit du nom d'un bateau ou de celui d'un gars qui passait par là...
En revanche, le SV Concordia est un autre bâtiment-école, construit spécialement à cet effet (vous pouvez suivre son itinéraire sur le site de l'école, il est actuellement au large du Sénégal, faisant route vers le Brésil). Son équipage d'étudiants est cosmopolite comme l'indique la banderole faite de drapeaux de divers pays mais son armement est canadien comme le montre la grande et rouge feuille d'érable qui ponctue le Concordia.
Il appartient au même groupe de formation à bord canadien que le Fryderyk Chopin dont nous avions déjà parlé dans cette rubrique puisque ses marins avaient aussi laissé la trace de leur passage sur les murs des quais de Funchal.
Le premier Endeavour célèbre fut celui du capitaine Cook. Construit en Angleterre en 1764, il était destiné à des voyages de découverte. Long de 30 mètres et large de 9, ce trois-mâts était sous le commandement du célèbre explorateur pendant sa campagne de 1768 vers les îles du Pacifique, puis, en 1769 pour la découverte de la Nouvelle-Zélande.
The Endeavour was built in England as an exploration ship in 1764. Long of 30 meters and broad of 9, this three-masted boat was under command by Captain Cook during the 1768 mission towards the islands of the Pacific, then in 1769 at the time of discovery of New-Zealand.Nul n'ignore l'existence d'un superbe classe J qui porte aussi ce nom, ni la série plus modeste des Endeavour, magnifiques bateaux de course et de plaisance. Mais aucun ne ressemble à ce dessin. Il s'agit probablement d'une étonnante réplique de l'Endeavour d'origine, le HM Bark Endeavour, construit à la fin des années quatre-vingt en Australie. (voir le site Bluewater).
Ce bateau-musée est rentré en Australie en 2005 après onze sur les mers du globe. Il est maintenu en état de marche pour pouvoir aller de porte en port sur les côtes australiennes.
Pour en savoir plus sur la construction de cette réplique, le site, en anglais, de l'Australian national maritime museum.
A noter, l'existence d'une autre copie de l'Endeavour, à Stockton on Tees, en Angleterre, ouverte pour receptions et banquets. www.hmbarkendeavour.co.uk
Voici le dernier de nos dessins. Pas facile de s'y retrouver dans cette superposition de tags.
Si l'on en croit la liste des dates inscrites sous son dessin, l'Eendracht (voir Les amis des grands voiliers) est un habitué du port de Funchal. Il s'agit d'un trois-mâts goélette hoillandais qui sert de navire-école au sens le plus large car il reçoit toutes sortes de populations.
Sous un grand drapeau grec, le Roald Admunsen (voir Les amis des grands voiliers), cet autre grand voilier, allemand, est plus directement destiné à l'éducation à la voile. Ce brick à coque d'acier reçoit les stagiaires de l'association "apprendre à vivre sur un voilier".
Autre élément de la flotte royale espagnole, la P 79 Vencedora nous a permis de découvrir un site intéressant Fotos de barcos (uniquement en espagnol), un forum pour photographes de marine très diversifié.
Le sigle représentant une ancre et une étoile, entouré des mots "Odessa" et "Mer noire" en russe et en anglais nous est resté une énigme. Sur les nombreux sites qui recensent les navires de la Mer noire et plus généralement la marine russe, pas un seul Odessa. Dommage de terminer nos recherches par cette petite déception.
Le capitaine en second (Gençkaptan) Denis Bayir était-il à bord du bateau turque Beykozlu ? Dernière énigme !
A bientôt pour d’autres aventures.
Les murales des quais de Funchal (suite 2 et fin)
Voici les dernières photos de murales des quais de Funchal, prises par Daniel Hillion. Le projet de livre sur le sujet est toujours dans nos cartons. Si vous souhaitez y participer, écrivez-nous à : editionsmdv@yahoo.fr
Vous pouvez également poursuivre la rubrique si vous possédez des photos du même genre.
On ne présente plus le plus grand cinq‑mâts du monde. Mais si vous voulez plus d'informations sur ce "village" flottant, rendez-vous sur son site. Et pour plus de détails techniques sur le site Web Croisières.
La prochaine transat ne faisant pas un tabac, il y aurait une grosse remise pour les amateurs !
Notre cher Belem a eu, lui aussi, les honneurs des quais de Funchal. Le mieux est de se rendre sur le site de la Fondation Belem pour découvrir en détail ce navire école pour tous.
Mais vous pouvez aussi le découvrir sous toutes ses coutures sur le site personnel
de Myriam Villert, Gréements.com. Un site que nous recommandons. Myriam, malgré son coup de cœur pour le Belem, parle aussi d'autres belle voilures.
Quant au trois mâts carré Georg Stage, c'est l'un des plus anciens (1934) parmi les grands voiliers en état de naviguer. (source Grands Voiliers.com).
C’est sur le site de Cherbourg que l'on trouve un résumé
de la vie de ce bateau école polonais. Le Pogoria a été construit en 1980 aux chantiers de Gdansk. Dessiné par l’architecte Zygmunt Choren (surnommé Cap Choren pour avoir passé le Cap Horn lors de la première Whitbread), le Pogoria est un magnifique trois-mâts métallique à voiles carrées.
Source : Paris-Normandie
Quant à Altair, ce n'est sûrement pas l'Altaïr, goélette immortelle de 1931 signée William Fife III. Cela ne ressemble pas à un bâtiment remorqueur de sonar qui porte le même nom. Ce n'est pas un type de vedette, ni l'un de ces monstrueux transports de troupe américains, pourtant construits aux Pays-bas. Non, je donne ma langue au chat, Altair, ce Hollandais restera fantôme ! et "le capitaine de son âme restera maître de sa foi"...
On ne présente pas non plus les Costa lines. Voir à ce sujet, notre article "Costa règne sur la Méditerranée", dans notre Revue de presse du 15 décembre.
Pour changer un peu, commençons par les frégates lance-missiles de la classe FFG-7 Oliver Hazard Perry.
Les F81 Santa Maria (photo ci-dessus) et F83 Numancia (voir Los barcos de Eugenio)
équipent la marine espagnole ainsi que quatre autres bâtiments du même type (F82 Victoria, F84 Reina Sofia, F85 Navarra et F86 Canarias). En plus de celle des Etats-Unis, les marines australienne, égyptienne, turque, polonaise et du Bahreïn en sont dotées.
Concepteur : Bath IW / Todd (Etats-Unis)
Propulsion : 2 TG General Electric LM 2500 d’une puissance de 40 000 ch - 1 hélice
Puissance : 3000 kW Vitesse maximale : 29 nœuds Distance franchissable : 4 200 km à 20 noeuds, 5 000 km à 18 noeuds Déplacement : 3 900 tonneaux Longueur : 138,80 m Largeur : 13,72 m
Armement : Conséquent, lanceurs de missiles, canons, lance-torpilles, etc. Pour en savoir plus, rendez-vous sur le site Avions militaires.Net (!?!!)
Quant à la signature şIşE SELIM, je ne possède pas assez de turque pour savoir s'il s'agit du nom d'un bateau ou de celui d'un gars qui passait par là...
En revanche, le SV Concordia est un autre bâtiment-école, construit spécialement à cet effet (vous pouvez suivre son itinéraire sur le site de l'école, il est actuellement au large du Sénégal, faisant route vers le Brésil). Son équipage d'étudiants est cosmopolite comme l'indique la banderole faite de drapeaux de divers pays mais son armement est canadien comme le montre la grande et rouge feuille d'érable qui ponctue le Concordia.
Il appartient au même groupe de formation à bord canadien que le Fryderyk Chopin dont nous avions déjà parlé dans cette rubrique puisque ses marins avaient aussi laissé la trace de leur passage sur les murs des quais de Funchal.
Le premier Endeavour célèbre fut celui du capitaine Cook. Construit en Angleterre en 1764, il était destiné à des voyages de découverte. Long de 30 mètres et large de 9, ce trois-mâts était sous le commandement du célèbre explorateur pendant sa campagne de 1768 vers les îles du Pacifique, puis, en 1769 pour la découverte de la Nouvelle-Zélande.
The Endeavour was built in England as an exploration ship in 1764. Long of 30 meters and broad of 9, this three-masted boat was under command by Captain Cook during the 1768 mission towards the islands of the Pacific, then in 1769 at the time of discovery of New-Zealand.
Nul n'ignore l'existence d'un superbe classe J qui porte aussi ce nom, ni la série plus modeste des Endeavour, magnifiques bateaux de course et de plaisance. Mais aucun ne ressemble à ce dessin. Il s'agit probablement d'une étonnante réplique de l'Endeavour d'origine, le HM Bark Endeavour, construit à la fin des années quatre-vingt en Australie. (voir le site Bluewater).
Ce bateau-musée est rentré en Australie en 2005 après onze sur les mers du globe. Il est maintenu en état de marche pour pouvoir aller de porte en port sur les côtes australiennes.
Pour en savoir plus sur la construction de cette réplique, le site, en anglais, de l'Australian national maritime museum.
A noter, l'existence d'une autre copie de l'Endeavour, à Stockton on Tees, en Angleterre, ouverte pour receptions et banquets. www.hmbarkendeavour.co.uk
Voici le dernier de nos dessins. Pas facile de s'y retrouver dans cette superposition de tags.
Si l'on en croit la liste des dates inscrites sous son dessin, l'Eendracht (voir Les amis des grands voiliers) est un habitué du port de Funchal. Il s'agit d'un trois-mâts goélette hoillandais qui sert de navire-école au sens le plus large car il reçoit toutes sortes de populations.
Sous un grand drapeau grec, le Roald Admunsen (voir Les amis des grands voiliers), cet autre grand voilier, allemand, est plus directement destiné à l'éducation à la voile. Ce brick à coque d'acier reçoit les stagiaires de l'association "apprendre à vivre sur un voilier".
Autre élément de la flotte royale espagnole, la P 79 Vencedora nous a permis de découvrir un site intéressant Fotos de barcos (uniquement en espagnol), un forum pour photographes de marine très diversifié.
Le sigle représentant une ancre et une étoile, entouré des mots "Odessa" et "Mer noire" en russe et en anglais nous est resté une énigme. Sur les nombreux sites qui recensent les navires de la Mer noire et plus généralement la marine russe, pas un seul Odessa. Dommage de terminé nnos recherches par cette petite déception.
Le capitaine en second (Gençkaptan) Denis Bayir était-il à bord du bateau turque Beykozlu ? Dernière énigme !
A bientôt pour d’autres aventures.
Vous pouvez également poursuivre la rubrique si vous possédez des photos du même genre.
On ne présente plus le plus grand cinq‑mâts du monde. Mais si vous voulez plus d'informations sur ce "village" flottant, rendez-vous sur son site. Et pour plus de détails techniques sur le site Web Croisières.
La prochaine transat ne faisant pas un tabac, il y aurait une grosse remise pour les amateurs !
Notre cher Belem a eu, lui aussi, les honneurs des quais de Funchal. Le mieux est de se rendre sur le site de la Fondation Belem pour découvrir en détail ce navire école pour tous.
Mais vous pouvez aussi le découvrir sous toutes ses coutures sur le site personnel
de Myriam Villert, Gréements.com. Un site que nous recommandons. Myriam, malgré son coup de cœur pour le Belem, parle aussi d'autres belle voilures.
Quant au trois mâts carré Georg Stage, c'est l'un des plus anciens (1934) parmi les grands voiliers en état de naviguer. (source Grands Voiliers.com).
C’est sur le site de Cherbourg que l'on trouve un résumé
de la vie de ce bateau école polonais. Le Pogoria a été construit en 1980 aux chantiers de Gdansk. Dessiné par l’architecte Zygmunt Choren (surnommé Cap Choren pour avoir passé le Cap Horn lors de la première Whitbread), le Pogoria est un magnifique trois-mâts métallique à voiles carrées.
Source : Paris-Normandie
Quant à Altair, ce n'est sûrement pas l'Altaïr, goélette immortelle de 1931 signée William Fife III. Cela ne ressemble pas à un bâtiment remorqueur de sonar qui porte le même nom. Ce n'est pas un type de vedette, ni l'un de ces monstrueux transports de troupe américains, pourtant construits aux Pays-bas. Non, je donne ma langue au chat, Altair, ce Hollandais restera fantôme ! et "le capitaine de son âme restera maître de sa foi"...
On ne présente pas non plus les Costa lines. Voir à ce sujet, notre article "Costa règne sur la Méditerranée", dans notre Revue de presse du 15 décembre.
Pour changer un peu, commençons par les frégates lance-missiles de la classe FFG-7 Oliver Hazard Perry.
Les F81 Santa Maria (photo ci-dessus) et F83 Numancia (voir Los barcos de Eugenio)
équipent la marine espagnole ainsi que quatre autres bâtiments du même type (F82 Victoria, F84 Reina Sofia, F85 Navarra et F86 Canarias). En plus de celle des Etats-Unis, les marines australienne, égyptienne, turque, polonaise et du Bahreïn en sont dotées.
Concepteur : Bath IW / Todd (Etats-Unis)
Propulsion : 2 TG General Electric LM 2500 d’une puissance de 40 000 ch - 1 hélice
Puissance : 3000 kW Vitesse maximale : 29 nœuds Distance franchissable : 4 200 km à 20 noeuds, 5 000 km à 18 noeuds Déplacement : 3 900 tonneaux Longueur : 138,80 m Largeur : 13,72 m
Armement : Conséquent, lanceurs de missiles, canons, lance-torpilles, etc. Pour en savoir plus, rendez-vous sur le site Avions militaires.Net (!?!!)
Quant à la signature şIşE SELIM, je ne possède pas assez de turque pour savoir s'il s'agit du nom d'un bateau ou de celui d'un gars qui passait par là...
En revanche, le SV Concordia est un autre bâtiment-école, construit spécialement à cet effet (vous pouvez suivre son itinéraire sur le site de l'école, il est actuellement au large du Sénégal, faisant route vers le Brésil). Son équipage d'étudiants est cosmopolite comme l'indique la banderole faite de drapeaux de divers pays mais son armement est canadien comme le montre la grande et rouge feuille d'érable qui ponctue le Concordia.
Il appartient au même groupe de formation à bord canadien que le Fryderyk Chopin dont nous avions déjà parlé dans cette rubrique puisque ses marins avaient aussi laissé la trace de leur passage sur les murs des quais de Funchal.
Le premier Endeavour célèbre fut celui du capitaine Cook. Construit en Angleterre en 1764, il était destiné à des voyages de découverte. Long de 30 mètres et large de 9, ce trois-mâts était sous le commandement du célèbre explorateur pendant sa campagne de 1768 vers les îles du Pacifique, puis, en 1769 pour la découverte de la Nouvelle-Zélande.
The Endeavour was built in England as an exploration ship in 1764. Long of 30 meters and broad of 9, this three-masted boat was under command by Captain Cook during the 1768 mission towards the islands of the Pacific, then in 1769 at the time of discovery of New-Zealand.
Nul n'ignore l'existence d'un superbe classe J qui porte aussi ce nom, ni la série plus modeste des Endeavour, magnifiques bateaux de course et de plaisance. Mais aucun ne ressemble à ce dessin. Il s'agit probablement d'une étonnante réplique de l'Endeavour d'origine, le HM Bark Endeavour, construit à la fin des années quatre-vingt en Australie. (voir le site Bluewater).
Ce bateau-musée est rentré en Australie en 2005 après onze sur les mers du globe. Il est maintenu en état de marche pour pouvoir aller de porte en port sur les côtes australiennes.
Pour en savoir plus sur la construction de cette réplique, le site, en anglais, de l'Australian national maritime museum.
A noter, l'existence d'une autre copie de l'Endeavour, à Stockton on Tees, en Angleterre, ouverte pour receptions et banquets. www.hmbarkendeavour.co.uk
Voici le dernier de nos dessins. Pas facile de s'y retrouver dans cette superposition de tags.
Si l'on en croit la liste des dates inscrites sous son dessin, l'Eendracht (voir Les amis des grands voiliers) est un habitué du port de Funchal. Il s'agit d'un trois-mâts goélette hoillandais qui sert de navire-école au sens le plus large car il reçoit toutes sortes de populations.
Sous un grand drapeau grec, le Roald Admunsen (voir Les amis des grands voiliers), cet autre grand voilier, allemand, est plus directement destiné à l'éducation à la voile. Ce brick à coque d'acier reçoit les stagiaires de l'association "apprendre à vivre sur un voilier".
Autre élément de la flotte royale espagnole, la P 79 Vencedora nous a permis de découvrir un site intéressant Fotos de barcos (uniquement en espagnol), un forum pour photographes de marine très diversifié.
Le sigle représentant une ancre et une étoile, entouré des mots "Odessa" et "Mer noire" en russe et en anglais nous est resté une énigme. Sur les nombreux sites qui recensent les navires de la Mer noire et plus généralement la marine russe, pas un seul Odessa. Dommage de terminé nnos recherches par cette petite déception.
Le capitaine en second (Gençkaptan) Denis Bayir était-il à bord du bateau turque Beykozlu ? Dernière énigme !
A bientôt pour d’autres aventures.
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