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vendredi 31 octobre 2008
Le cinq-mâts barque France
Le France fut l’un des plus grands cinq-mâts barques, à coque et mâts d’acier, de son temps. Il fut construit en 1890 dans le chantier naval écossais de Glasgow pour l’armement Bordes et fils de Dunkerque, premier armement français de voiliers-cargos et deuxième mondial à cette époque.
Le France, premier du nom, servait entre l’Europe et le Chili. Lors de son premier voyage, il a transporté 5000 tonnes de charbon à Iquique au Chili pour repartir avec 5500 tonnes de nitrate. Grâce à ses quatre grues à vapeur le déchargement et rechargement n’ont duré que onze jours.
Ce cinq-mâts rapide a enregistré un record aller-retour de seulement soixante-trois jours.
Le 27 janvier 1897, le France est heurté par HMS Blenheim. Cette nuit-là, le croiseur britannique avait vu deux lumières et supposé qu’elles appartenaient à deux navires séparés. Voulant passer entre les deux, il comprit trop tard sa méprise.
En 1901, lors d'une traversée vers Valparaiso, avec une cargaison de charbon, le France a subi une violente tempête. L’équipage dut abandonné le bateau et fut recueilli par le quatre-mâts allemand Hebe.
Le France II fut, quant à lui, construit par les chantiers navals de la Gironde à Bordeaux en 1911, sous la direction de Gustave Leverne (1861-1940), pour l’armateur rouennais Société anonyme des navires mixtes Prentout-Leblond. Il était le plus long voilier jamais construit jusqu’à décembre 1988 où il a perdu son titre au profit des Club Med 1 et Club Med 2 (187,2 m). Ce cinq-mâts barque fut également équipé en appoint de deux moteurs Schneider de 900 chevaux, installés au cours de l’été 1919.
Le 11 juillet 1922, par temps calme, le France II s’échoue sur le récif de Ouano en Nouvelle-Calédonie.
Ce géant des mers est largement décrit, avec plan de voilure et de pont et illustrations, dans Grands voiliers français de Jean Randier (disponible aux éditions MDV-Maîtres du Vent)
Le cinq-mâts barque France (1890) à Dunkerque
Le France fut l’un des plus grands cinq-mâts barques, à coque et mâts d’acier, de son temps. Il fut construit en 1890 dans le chantier naval écossais de Glasgow pour l’armement Bordes et fils de Dunkerque, premier armement français de voiliers-cargos et deuxième mondial à cette époque.
Le France, premier du nom, servait entre l’Europe et le Chili. Lors de son premier voyage, il a transporté 5000 tonnes de charbon à Iquique au Chili pour repartir avec 5500 tonnes de nitrate. Grâce à ses quatre grues à vapeur le déchargement et rechargement n’ont duré que onze jours.
Ce cinq-mâts rapide a enregistré un record aller-retour de seulement soixante-trois jours.
Le 27 janvier 1897, le France est heurté par HMS Blenheim. Cette nuit-là, le croiseur britannique avait vu deux lumières et supposé qu’elles appartenaient à deux navires séparés. Voulant passer entre les deux, il comprit trop tard sa méprise.
En 1901, lors d'une traversée vers Valparaiso, avec une cargaison de charbon, le France a subi une violente tempête. L’équipage dut abandonné le bateau et fut recueilli par le quatre-mâts allemand Hebe.
Le France II fut, quant à lui, construit par les chantiers navals de la Gironde à Bordeaux en 1911, sous la direction de Gustave Leverne (1861-1940), pour l’armateur rouennais Société anonyme des navires mixtes Prentout-Leblond. Il était le plus long voilier jamais construit jusqu’à décembre 1988 où il a perdu son titre au profit des Club Med 1 et Club Med 2 (187,2 m). Ce cinq-mâts barque fut également équipé en appoint de deux moteurs Schneider de 900 chevaux, installés au cours de l’été 1919.
Le 11 juillet 1922, par temps calme, le France II s’échoue sur le récif de Ouano en Nouvelle-Calédonie.
Ce géant des mers est largement décrit, avec plan de voilure et de pont et illustrations, dans Grands voiliers français de Jean Randier (disponible aux éditions MDV-Maîtres du Vent)
Le cinq-mâts barque France
Le France fut l’un des plus grands cinq-mâts barques, à coque et mâts d’acier, de son temps. Il fut construit en 1890 dans le chantier naval écossais de Glasgow pour l’armement Bordes et fils de Dunkerque, premier armement français de voiliers-cargos et deuxième mondial à cette époque.
Le France, premier du nom, servait entre l’Europe et le Chili. Lors de son premier voyage, il a transporté 5000 tonnes de charbon à Iquique au Chili pour repartir avec 5500 tonnes de nitrate. Grâce à ses quatre grues à vapeur le déchargement et rechargement n’ont duré que onze jours.
Ce cinq-mâts rapide a enregistré un record aller-retour de seulement soixante-trois jours.
Le 27 janvier 1897, le France est heurté par HMS Blenheim. Cette nuit-là, le croiseur britannique avait vu deux lumières et supposé qu’elles appartenaient à deux navires séparés. Voulant passer entre les deux, il comprit trop tard sa méprise.
En 1901, lors d'une traversée vers Valparaiso, avec une cargaison de charbon, le France a subi une violente tempête. L’équipage dut abandonné le bateau et fut recueilli par le quatre-mâts allemand Hebe.
Le France II fut, quant à lui, construit par les chantiers navals de la Gironde à Bordeaux en 1911, sous la direction de Gustave Leverne (1861-1940), pour l’armateur rouennais Société anonyme des navires mixtes Prentout-Leblond. Il était le plus long voilier jamais construit jusqu’à décembre 1988 où il a perdu son titre au profit des Club Med 1 et Club Med 2 (187,2 m). Ce cinq-mâts barque fut également équipé en appoint de deux moteurs Schneider de 900 chevaux, installés au cours de l’été 1919.
Le 11 juillet 1922, par temps calme, le France II s’échoue sur le récif de Ouano en Nouvelle-Calédonie.
Ce géant des mers est largement décrit, avec plan de voilure et de pont et illustrations, dans le livre de Jean Randier "Grands voiliers français" disponible aux éditions MDV-Maîtres du Vent.
Le cinq-mâts barque France
Le France fut l’un des plus grands cinq-mâts barques, à coque et mâts d’acier, de son temps. Il fut construit en 1890 dans le chantier naval écossais de Glasgow pour l’armement Bordes et fils de Dunkerque, premier armement français de voiliers-cargos et deuxième mondial à cette époque.
Le France, premier du nom, servait entre l’Europe et le Chili. Lors de son premier voyage, il a transporté 5000 tonnes de charbon à Iquique au Chili pour repartir avec 5500 tonnes de nitrate. Grâce à ses quatre grues à vapeur le déchargement et rechargement n’ont duré que onze jours.
Ce cinq-mâts rapide a enregistré un record aller-retour de seulement soixante-trois jours.
Le 27 janvier 1897, le France est heurté par HMS Blenheim. Cette nuit-là, le croiseur britannique avait vu deux lumières et supposé qu’elles appartenaient à deux navires séparés. Voulant passer entre les deux, il comprit trop tard sa méprise.
En 1901, lors d'une traversée vers Valparaiso, avec une cargaison de charbon, le France a subi une violente tempête. L’équipage dut abandonné le bateau et fut recueilli par le quatre-mâts allemand Hebe.
Le France II fut, quant à lui, construit par les chantiers navals de la Gironde à Bordeaux en 1911, sous la direction de Gustave Leverne (1861-1940), pour l’armateur rouennais Société anonyme des navires mixtes Prentout-Leblond. Il était le plus long voilier jamais construit jusqu’à décembre 1988 où il a perdu son titre au profit des Club Med 1 et Club Med 2 (187,2 m). Ce cinq-mâts barque fut également équipé en appoint de deux moteurs Schneider de 900 chevaux, installés au cours de l’été 1919.
Le 11 juillet 1922, par temps calme, le France II s’échoue sur le récif de Ouano en Nouvelle-Calédonie.
Ce géant des mers est largement décrit, avec plan de voilure et de pont et illustrations, dans Grands voiliers français de Jean Randier (disponible aux éditions MDV-Maîtres du Vent)
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