samedi 26 juin 2010

Maquettes à Bordeaux

La ville de Bordeaux a un grand passé maritime superbement retracé ici par Hervé Guichoux. Les récents travaux d'aménagement des quais n'ont fait qu'embellir cette partie de la ville où les paquebots de croisière ont remplacé les unités des liaisons régulières vers l'Afrique.

Mais l'histoire maritime semble un peu oubliée dans la grande métropole d'Aquitaine. Heureusement, quelques passionnés, formant le Club des maquettes de Guyenne présidé par Jean Paul Helbig, ont pris l'heureuse initiative d'ouvrir au public un "mini-musée" au 45 quai de Bacalan. Ils y présentent leurs réalisations, de grande qualité :









Ce groupe bénéficie d'une expérience certaine puisqu'il avait déjà participé à l'aménagement en musée de l'ancienne base sous-marine et à la gestion du croiseur Colbert avant qu'il ne soit transféré à Landévennec. C'est à ses membres que le musée d'Aquitaine a fait appel lorsqu'il s'est agit de restaurer trois maquettes de navires datant du XVIIIème siècle. L'un des nombreux mérites de ce groupe est de faire ressortir un point essentiel de l'aménagement des quartiers des bassins à flots : ne serait-ce pas dans ce quartier qu'il serait judicieux d'établir le musée maritime que mérite la ville ?

Maquettes à Bordeaux

La ville de Bordeaux a un grand passé maritime superbement retracé ici par Hervé Guichoux. Les récents travaux d'aménagement des quais n'ont fait qu'embellir cette partie de la ville où les paquebots de croisière ont remplacé les unités des liaisons régulières vers l'Afrique.

Mais l'histoire maritime semble un peu oubliée dans la grande métropole d'Aquitaine. Heureusement, quelques passionnés, formant le Club des maquettes de Guyenne présidé par Jean Paul Helbig, ont pris l'heureuse initiative d'ouvrir au public un "mini-musée" au 45 quai de Bacalan. Ils y présentent leurs réalisations, de grande qualité :









Ce groupe bénéficie d'une expérience certaine puisqu'il avait déjà participé à l'aménagement en musée de l'ancienne base sous-marine et à la gestion du croiseur Colbert avant qu'il ne soit transféré à Landévennec. C'est à ses membres que le musée d'Aquitaine a fait appel lorsqu'il s'est agit de restaurer trois maquettes de navires datant du XVIIIème siècle. L'un des nombreux mérites de ce groupe est de faire ressortir un point essentiel de l'aménagement des quartiers des bassins à flots : ne serait-ce pas dans ce quartier qu'il serait judicieux d'établir le musée maritime que mérite la ville ?

La Confiance de Surcouf à Paimpol

Paimpol : La Confiance qui servit de navire corsaire pour filmer Surcouf.

Construit à Bordeaux en 1799, La Confiance va voguer dès la même année à destination de L'Ile de France (Maurice). A son arrivée à Port-Louis, le commandement en est confié à Robert Surcouf, jeune corsaire de Saint-Malo qui avait opéré durant deux ans dans l'océan Indien. Avec ses 491 tonneaux pour 39 m de longueur, le navire était solidement bâti. En octobre 1800, avec ce voiler, Surcouf capture le Kent, navire anglais de 1200 tonneaux pourtant beaucoup mieux armé. Le Kent est ramené à Port Louis et vendu à un marchand danois. En 1803, La Confiance sera à son tour capturée sur les côtes africaines et vendue a un marchand anglais.

La Confiance de Surcouf à Paimpol

Paimpol : La Confiance qui servit de navire corsaire pour filmer Surcouf.

Construit à Bordeaux en 1799, La Confiance va voguer dès la même année à destination de L'Ile de France (Maurice). A son arrivée à Port-Louis, le commandement en est confié à Robert Surcouf, jeune corsaire de Saint-Malo qui avait opéré durant deux ans dans l'océan Indien. Avec ses 491 tonneaux pour 39 m de longueur, le navire était solidement bâti. En octobre 1800, avec ce voiler, Surcouf capture le Kent, navire anglais de 1200 tonneaux pourtant beaucoup mieux armé. Le Kent est ramené à Port Louis et vendu à un marchand danois. En 1803, La Confiance sera à son tour capturée sur les côtes africaines et vendue a un marchand anglais.