Comme nos lecteurs l'auront constaté, nous accueillons depuis hier un nouveau participant sur notre blog, le photographe ArNo Baltazar qui connait bien les choses de la mer comme en témoigne sa biographie.
Né à Reims le 25 août 1963, à l’âge de 18 ans, il entre en stage chez le photographe Robert Meule.
Déjà la passion de la photographie, le conduit à saisir tous les aspects de la cathédrale Notre-Dame de Reims, véritable joyau de l’Occident chrétien. Il expose pour la première fois dans une brasserie de la place Drouet d’Erlon, cœur vibrant de la jeunesse rémoise puis ArNo embrasse le métier d’antiquaire sans jamais abandonner son travail de photographe. Les hasards de la vie l’on conduit en Aquitaine, d’abord en Dordogne puis en Lot-et-Garonne. Il voue une passion dévorante à la mer, à l’océan, à la maîtrise de vieux gréements à l’amour de la vie tout simplement !
Après avoir navigué sur les eaux tumultueuses de Bretagne, c’est à bord de son voilier « Xavy », corsaire des années 1960, qu’il navigue depuis plusieurs années sur le bassin d’Arcachon découvrant sans cesse des sites, des rivages souvent ignorés des vacanciers qui foulent la presqu’île, qui foulent le bassin…
Membre actif depuis quelques années de l’Association «Voiles d’Antan du Bassin d’Arcachon», il milite avec tous les amoureux de bateaux traditionnels pour la sauvegarde, la restauration et l’entretien de ce patrimoine maritime qui a tendance à disparaître petit à petit et qui fait la gloire du bassin. Il n’oublie pas tout le patrimoine bâti comme les anciens chais ostréicoles qu’il faut défendre et sauver de la destruction. Son association en a sauvé quatre !
Il est de toutes les manifestations maritimes, de toutes les régates pour saisir l’instant magique des vieux gréements en action
Aujourd’hui, ArNo s’est pris de passion pour l’Algarve, terre de contrastes, baignée de soleil, balayée par les vents de l’océan, aux confins de l’Europe. Il y retrouve la mer, les bateaux traditionnels comme les « moliceiros » ou les « traineira » ainsi que des paysages grandioses à couper le souffle. Son projet, à très court terme, est de s’y installer, d’y vivre et d’y poursuivre son travail photographique, le regard inlassablement tourné vers les autres.
ArNo travaille avec un Nikon D 700 grippé. Un AF-S NIKKOR 24-70 mm f : 2.8G et un AF–R NIKKOR 70-200 mm f : 2.8G.
Histoire maritime internationale - Marines marchande ou de guerre - Grands et petits voiliers - Culture maritime (antiquariat, memorabilia, littérature, peinture…) - Tout ce qui concerne la mer et les lacs et ceux qui naviguent dessus (ou dessous) nous passionne…
vendredi 28 janvier 2011
Nouveau participant à notre blog
Comme nos lecteurs l'auront constaté, nous accueillons depuis hier un nouveau participant sur notre blog, le photographe ArNo Baltazar qui connait bien les choses de la mer comme en témoigne sa biographie.
Né à Reims le 25 août 1963, à l’âge de 18 ans, il entre en stage chez le photographe Robert Meule.
Déjà la passion de la photographie, le conduit à saisir tous les aspects de la cathédrale Notre-Dame de Reims, véritable joyau de l’Occident chrétien. Il expose pour la première fois dans une brasserie de la place Drouet d’Erlon, cœur vibrant de la jeunesse rémoise puis ArNo embrasse le métier d’antiquaire sans jamais abandonner son travail de photographe. Les hasards de la vie l’on conduit en Aquitaine, d’abord en Dordogne puis en Lot-et-Garonne. Il voue une passion dévorante à la mer, à l’océan, à la maîtrise de vieux gréements à l’amour de la vie tout simplement !
Après avoir navigué sur les eaux tumultueuses de Bretagne, c’est à bord de son voilier « Xavy », corsaire des années 1960, qu’il navigue depuis plusieurs années sur le bassin d’Arcachon découvrant sans cesse des sites, des rivages souvent ignorés des vacanciers qui foulent la presqu’île, qui foulent le bassin…
Membre actif depuis quelques années de l’Association «Voiles d’Antan du Bassin d’Arcachon», il milite avec tous les amoureux de bateaux traditionnels pour la sauvegarde, la restauration et l’entretien de ce patrimoine maritime qui a tendance à disparaître petit à petit et qui fait la gloire du bassin. Il n’oublie pas tout le patrimoine bâti comme les anciens chais ostréicoles qu’il faut défendre et sauver de la destruction. Son association en a sauvé quatre !
Il est de toutes les manifestations maritimes, de toutes les régates pour saisir l’instant magique des vieux gréements en action
Aujourd’hui, ArNo s’est pris de passion pour l’Algarve, terre de contrastes, baignée de soleil, balayée par les vents de l’océan, aux confins de l’Europe. Il y retrouve la mer, les bateaux traditionnels comme les « moliceiros » ou les « traineira » ainsi que des paysages grandioses à couper le souffle. Son projet, à très court terme, est de s’y installer, d’y vivre et d’y poursuivre son travail photographique, le regard inlassablement tourné vers les autres.
ArNo travaille avec un Nikon D 700 grippé. Un AF-S NIKKOR 24-70 mm f : 2.8G et un AF–R NIKKOR 70-200 mm f : 2.8G.
Né à Reims le 25 août 1963, à l’âge de 18 ans, il entre en stage chez le photographe Robert Meule.
Déjà la passion de la photographie, le conduit à saisir tous les aspects de la cathédrale Notre-Dame de Reims, véritable joyau de l’Occident chrétien. Il expose pour la première fois dans une brasserie de la place Drouet d’Erlon, cœur vibrant de la jeunesse rémoise puis ArNo embrasse le métier d’antiquaire sans jamais abandonner son travail de photographe. Les hasards de la vie l’on conduit en Aquitaine, d’abord en Dordogne puis en Lot-et-Garonne. Il voue une passion dévorante à la mer, à l’océan, à la maîtrise de vieux gréements à l’amour de la vie tout simplement !
Après avoir navigué sur les eaux tumultueuses de Bretagne, c’est à bord de son voilier « Xavy », corsaire des années 1960, qu’il navigue depuis plusieurs années sur le bassin d’Arcachon découvrant sans cesse des sites, des rivages souvent ignorés des vacanciers qui foulent la presqu’île, qui foulent le bassin…
Membre actif depuis quelques années de l’Association «Voiles d’Antan du Bassin d’Arcachon», il milite avec tous les amoureux de bateaux traditionnels pour la sauvegarde, la restauration et l’entretien de ce patrimoine maritime qui a tendance à disparaître petit à petit et qui fait la gloire du bassin. Il n’oublie pas tout le patrimoine bâti comme les anciens chais ostréicoles qu’il faut défendre et sauver de la destruction. Son association en a sauvé quatre !
Il est de toutes les manifestations maritimes, de toutes les régates pour saisir l’instant magique des vieux gréements en action
Aujourd’hui, ArNo s’est pris de passion pour l’Algarve, terre de contrastes, baignée de soleil, balayée par les vents de l’océan, aux confins de l’Europe. Il y retrouve la mer, les bateaux traditionnels comme les « moliceiros » ou les « traineira » ainsi que des paysages grandioses à couper le souffle. Son projet, à très court terme, est de s’y installer, d’y vivre et d’y poursuivre son travail photographique, le regard inlassablement tourné vers les autres.
ArNo travaille avec un Nikon D 700 grippé. Un AF-S NIKKOR 24-70 mm f : 2.8G et un AF–R NIKKOR 70-200 mm f : 2.8G.
Marseille port marchand par Hugo d'Alesi
Frédéric Alexianu, dit Hugo d'Alesi (1849-1906), peintre et illustrateur publicitaire, a réalisé nombre d'affiches touristiques pour les compagnies de chemin de fer du XIXe siècle (chemin de fer de Paris à Orléans, PLM ou de l'Ouest). Il a aussi travaillé pour des compagnies de navigation et des constructeurs d'automobiles.
Dans le cadre de la Commission de décoration scolaire instituée par Jules Ferry, il a été pressenti pour réaliser des Tableaux scolaires qui ont été présentés à l'exposition universelle de 1900. Son expérience d'affichiste pour les compagnies maritimes lui a servi dans ces cartes thématiques sur des thèmes qui nous intéressent.
Au dos de ces cartes, des textes pédagogiques sont le reflet d'une époque de glorification de l'industrie et des activités françaises. Ainsi "Marseille est le plus grand de nos ports marchands. situé à quelque distance du Rhône, dont l'embouchure est trop peu profonde pour qu'un port ait pu s'y établir, il est le débouché de la vallée du Rhône sur la Méditerranée. Comme cette mer n'a pas de marée, il n'y a pas d'écluse à Marseille et les navires entrent et sortent à toute heure. Les quais immenses sont sillonnés de voies ferrées et encombrés de caisses, de tonneaux, de ballots. Souvent même on les entasse dans de grands bâtiments, les docks, qui alignent leurs toits rouges sur de grands espaces. Des grues à main, à vapeur, électriques déchargent les marchandises. Les navires amarrés aux quais, pendant que es bassins sont sillonnés de barques, de vapeurs, de remorqueurs. Marseille fait un commerce immense avec l'Algérie et toute la Méditerranée, avec la côte occidentale d'Afrique, avec l'Asie toute entière, l'Océanie, Madagascar, l'océan Indien."
Marseille port marchand par Hugo d'Alesi
Frédéric Alexianu, dit Hugo d'Alesi (1849-1906), peintre et illustrateur publicitaire, a réalisé nombre d'affiches touristiques pour les compagnies de chemin de fer du XIXe siècle (chemin de fer de Paris à Orléans, PLM ou de l'Ouest). Il a aussi travaillé pour des compagnies de navigation et des constructeurs d'automobiles.
Dans le cadre de la Commission de décoration scolaire instituée par Jules Ferry, il a été pressenti pour réaliser des Tableaux scolaires qui ont été présentés à l'exposition universelle de 1900. Son expérience d'affichiste pour les compagnies maritimes lui a servi dans ces cartes thématiques sur des thèmes qui nous intéressent.
Au dos de ces cartes, des textes pédagogiques sont le reflet d'une époque de glorification de l'industrie et des activités françaises. Ainsi "Marseille est le plus grand de nos ports marchands. situé à quelque distance du Rhône, dont l'embouchure est trop peu profonde pour qu'un port ait pu s'y établir, il est le débouché de la vallée du Rhône sur la Méditerranée. Comme cette mer n'a pas de marée, il n'y a pas d'écluse à Marseille et les navires entrent et sortent à toute heure. Les quais immenses sont sillonnés de voies ferrées et encombrés de caisses, de tonneaux, de ballots. Souvent même on les entasse dans de grands bâtiments, les docks, qui alignent leurs toits rouges sur de grands espaces. Des grues à main, à vapeur, électriques déchargent les marchandises. Les navires amarrés aux quais, pendant que es bassins sont sillonnés de barques, de vapeurs, de remorqueurs. Marseille fait un commerce immense avec l'Algérie et toute la Méditerranée, avec la côte occidentale d'Afrique, avec l'Asie toute entière, l'Océanie, Madagascar, l'océan Indien."
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