Après avoir fait publier en 1993 "Les liberty ships", Jean Yves Brouard récidive avec succès en publiant aux éditions JYB Aventures un nouvel album sur le même sujet. Ce nouveau très beau livre est particulièrement orienté vers l'étude des années de guerre. De nombreuses anecdotes, concernant par exemple les lancements ou la vie des convois, sont rapportées et illustrées.
C'est l'occasion de publier des clichés inédits (dont un cahier de douze pages en couleurs):
ou encore cette très rare vue du port de Bordeaux :J.Y. Brouard est journaliste au Marin et collabore à la revue Navires et Histoire pour lesquels il a écrit de nombreux articles, tous ayant trait à l'histoire de la marine marchande française. Il est également l'auteur de plusieurs autres livres (en particulier "Le drame du Grandcamp" ou une passionnante histoire du paquebot français Pasteur) tous marqués par la précision des données qu'ils contiennent. La traduction en langue anglaise a été réalisée par Jeroen Hiltermann, grand connaisseur des marines marchandes du monde entier. L'association de ces deux noms est un gage de qualité.
Histoire maritime internationale - Marines marchande ou de guerre - Grands et petits voiliers - Culture maritime (antiquariat, memorabilia, littérature, peinture…) - Tout ce qui concerne la mer et les lacs et ceux qui naviguent dessus (ou dessous) nous passionne…
mercredi 9 novembre 2011
"Liberty en guerre" par Jean-Yves Brouard
Après avoir fait publier en 1993 "Les liberty ships", Jean Yves Brouard récidive avec succès en publiant aux éditions JYB Aventures un nouvel album sur le même sujet. Ce nouveau très beau livre est particulièrement orienté vers l'étude des années de guerre. De nombreuses anecdotes, concernant par exemple les lancements ou la vie des convois, sont rapportées et illustrées.
C'est l'occasion de publier des clichés inédits (dont un cahier de douze pages en couleurs):
ou encore cette très rare vue du port de Bordeaux :J.Y. Brouard est journaliste au Marin et collabore à la revue Navires et Histoire pour lesquels il a écrit de nombreux articles, tous ayant trait à l'histoire de la marine marchande française. Il est également l'auteur de plusieurs autres livres (en particulier "Le drame du Grandcamp" ou une passionnante histoire du paquebot français Pasteur) tous marqués par la précision des données qu'ils contiennent. La traduction en langue anglaise a été réalisée par Jeroen Hiltermann, grand connaisseur des marines marchandes du monde entier. L'association de ces deux noms est un gage de qualité.
C'est l'occasion de publier des clichés inédits (dont un cahier de douze pages en couleurs):
ou encore cette très rare vue du port de Bordeaux :J.Y. Brouard est journaliste au Marin et collabore à la revue Navires et Histoire pour lesquels il a écrit de nombreux articles, tous ayant trait à l'histoire de la marine marchande française. Il est également l'auteur de plusieurs autres livres (en particulier "Le drame du Grandcamp" ou une passionnante histoire du paquebot français Pasteur) tous marqués par la précision des données qu'ils contiennent. La traduction en langue anglaise a été réalisée par Jeroen Hiltermann, grand connaisseur des marines marchandes du monde entier. L'association de ces deux noms est un gage de qualité.
Saint-Louis, de la compagnie Hapag, paquebot de l'exode des Juifs allemands
Saint-Louis de la Hapag, ses huit ponts pouvaient accueillir 400 passagers en 1re classe (800 Reichsmarks) et 500 passagers en classe touriste (600 Reichsmarks). (coll agence Adhémar) |
Le Joint Distribution Committee réussit à convaincre la France, la Grande-Bretagne, la Belgique et la Hollande à se partager les passagers du Saint-Louis en s’engageant à verser 500 $ pour chacun des hommes, femmes et enfants à bord. Après la victoire allemande en Europe, nombre d'entre eux trouveront le chemin des camps. (pour plus de détails, voir musée de l'holocauste)
Saint-Louis, de la compagnie Hapag, paquebot de l'exode des juifs allemands
Saint-Louis de la Hapag, ses huit ponts pouvaient accueillir 400 passagers en 1re classe (800 Reichsmarks) et 500 passagers en classe touriste (600 Reichsmarks). (coll agence Adhémar) |
Le Joint Distribution Committee réussit à convaincre la France, la Grande-Bretagne, la Belgique et la Hollande à se partager les passagers du Saint-Louis en s’engageant à verser 500 $ pour chacun des hommes, femmes et enfants à bord. Après la victoire allemande en Europe, nombre d'entre eux trouveront le chemin des camps. (pour plus de détails, voir musée de l'holocauste)
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