Le croiseur anti-aérien De Grasse
J'ai eu l'occasion de vous entretenir sur ce blog, il y a quelque temps du croiseur français De Grasse survivant des programmes navals d'avant-guerre, dont la construction, interrompue à cause des hostilités, a reprise comme croiseur anti-aérien. Il a accompli une longue carrière de 1956 à 1974 dans La Royale. En 1963, ce croiseur a fait le tour du monde, l'ECPAD (vidéothèque de la Défense) en a tiré un très beau film que je vous invite à regarder:
Alain
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La Terre est ronde
Histoire maritime internationale - Marines marchande ou de guerre - Grands et petits voiliers - Culture maritime (antiquariat, memorabilia, littérature, peinture…) - Tout ce qui concerne la mer et les lacs et ceux qui naviguent dessus (ou dessous) nous passionne…
jeudi 28 février 2013
mercredi 27 février 2013
Châteaurenault, Pascal et Bugeaud dans la baie d'Along
Châteaurenault, Pascal et Bugeaud dans la baie d'Along. collection agence Adhémar |
Châteaurenault, croiseur protégé de 1re classe. |
Croiseur protégé de 1re classe Châteaurenault lancé le 21 mai 1898 au chantier naval des forges et chantiers de la Méditerranée à La Seyne-sur-Mer. Longueur 135m - Maître-bau 17m - Tirant d'eau 7,39m - Déplacement 7898 tjb - Puissance 23000cv - Vitesse 23 nœuds
Blindage de pont 55mm, de kiosque 157mm - Armement: 2 × 164mm(cal.45 QF M1893), 6 × 138mm (cal.45 QF M1893), 10 × 47 mm (DCA), 5 × 37 mm (DCA)
Rayon d'action de 11000milles à 10 nœuds (1960 tonnes de charbon).
Après avoir servi en Cochinchine, il devient navire-école d'application des manœuvres et des charpentiers à Brest. Avec la Première Guerre mondiale, il reprend du service comme transport de troupes pour l'Armée d'Orient entre Tarente et Itéa. Il est torpillé le 14 décembre 1917 par le sous-marin UC 38 lui-même coulé peu après par les torpilleurs Mameluck et Lansquenet.
Le croiseur protégé de 2e classe Pascal. |
Armement: 4x1 canon de 164 mm(cal45-M1893), 10x1 canon de 100 mm(cal50-QF), 8x1 canon de 47 mm, 4x1 canon de 37 mm, 2 tubes lance-torpilles (450 mm).
Démoli en 1911.
Le croiseur protégé Chasseloup Laubat, avec Bugeaud, ils composent la classe Friant. |
Rayé des listes en 1911.
Mise à jour du site la Flotte de Napoléon III
Bonjour,
Mes sites ont été mis à jour
- « la Flotte de Napoléon III » http://dossiersmarine.free.fr
Ø Partie Documentation / Les canons des marines russes et françaises à Sébastopol – un article très complet de Claude Millé.
- « Bordeaux Aquitaine Marine » http://variamarine.free.fr
Ø Commerce / Commerce extérieur de Bordeaux en 1861
Ø Actualités / Croisières bordelaises
Ø Port / Outillage / La bigue Gironde
- « Marines » http://dossiersmarine4.free.fr
Ø Le navire / Le navire corsaire
Ø Le navire / L’ancêtre de l’hydrojet
Cordialement,
Alain Clouet - webmaster
mardi 26 février 2013
Le croiseur léger Jeanne d’Arc dans l'Arsenal de Brest
Deux vues de «La Jeanne» dans l'Arsenal de Brest. Pour plus d'information sur l'histoire des "Jeanne", cliquez ici.
L’arsenal de Brest est un ensemble d’installations militaires et navales situé dans la rivière Penfeld, à Brest, dans le Finistère, en Bretagne. Il s’agit de la seconde base navale principale française, après celle de Toulon. Dans le langage populaire ouvrier brestois, l’arsenal de Brest est aussi appelé l’arsouil.
1631-1635 Début des bases de l’infrastructure portuaire.
1674 Apparition des Magasins aux poudres, de la Cordellerie et de l’Hôpital militaire.
1683 Création de la forme de Troulan.
1746 Création des trois formes de Pontaniou à proximité des forges des ancres et des constructions navales.
1750-1751 Construction du bagne, détruit en 1947.
1807 Construction du bâtiment aux Lions abritant les magasins de l’arsenal.
1822-1827 Construction du Bassin 6 au Salou.
1858 Appropriation par la Marine nationale des quais Tourville et Jean Bart.
1864-1865 Construction du Bassin 7 au Salou.
1865 Fermeture du port de la Penfeld aux bâtiments de commerce : le port devient militaire.
1889-1896 Construction de la Jetée sud (1 500 m).
1895-1900 Construction de la Jetée ouest (200 m).
1899-1902 Transformation des quatre formes de Pontaniou en deux larges bassins, actuellement dénommés Bassin 2 et Bassin 3.
1900-1905 Prolongement de la Jetée sud sur 750 m.
1905 Construction du Quai d’Armement.
1910 Installation de la Grande Grue.
1910-1916 Creusement des deux bassins de construction et de radoub de Laninon, actuellement dénommés Bassin 8 et Bassin 9.
1911 Comblement du terre-plein du château.
1918 Construction du Quai des flottilles.
1931-1933 Fermeture de la passe ouest.
1938 Début des travaux de construction du Bassin 10 de Laninon (travaux abandonnés pendant la guerre).
1940 Construction de la base sous-marine durant l’occupation allemande. Le port militaire devient une importante base stratégique du Reich.
1963-1964 Élargissement de la jetée.
1969-1970 Construction des épis porte-avions 3 et 4.
Plus d'infos sur Brest dans ce blog, cliquez ici.
L’arsenal de Brest est un ensemble d’installations militaires et navales situé dans la rivière Penfeld, à Brest, dans le Finistère, en Bretagne. Il s’agit de la seconde base navale principale française, après celle de Toulon. Dans le langage populaire ouvrier brestois, l’arsenal de Brest est aussi appelé l’arsouil.
1631-1635 Début des bases de l’infrastructure portuaire.
1674 Apparition des Magasins aux poudres, de la Cordellerie et de l’Hôpital militaire.
1683 Création de la forme de Troulan.
1746 Création des trois formes de Pontaniou à proximité des forges des ancres et des constructions navales.
1750-1751 Construction du bagne, détruit en 1947.
1807 Construction du bâtiment aux Lions abritant les magasins de l’arsenal.
1822-1827 Construction du Bassin 6 au Salou.
1858 Appropriation par la Marine nationale des quais Tourville et Jean Bart.
1864-1865 Construction du Bassin 7 au Salou.
1865 Fermeture du port de la Penfeld aux bâtiments de commerce : le port devient militaire.
1889-1896 Construction de la Jetée sud (1 500 m).
1895-1900 Construction de la Jetée ouest (200 m).
1899-1902 Transformation des quatre formes de Pontaniou en deux larges bassins, actuellement dénommés Bassin 2 et Bassin 3.
1900-1905 Prolongement de la Jetée sud sur 750 m.
1905 Construction du Quai d’Armement.
1910 Installation de la Grande Grue.
1910-1916 Creusement des deux bassins de construction et de radoub de Laninon, actuellement dénommés Bassin 8 et Bassin 9.
1911 Comblement du terre-plein du château.
1918 Construction du Quai des flottilles.
1931-1933 Fermeture de la passe ouest.
1938 Début des travaux de construction du Bassin 10 de Laninon (travaux abandonnés pendant la guerre).
1940 Construction de la base sous-marine durant l’occupation allemande. Le port militaire devient une importante base stratégique du Reich.
1963-1964 Élargissement de la jetée.
1969-1970 Construction des épis porte-avions 3 et 4.
Plus d'infos sur Brest dans ce blog, cliquez ici.
lundi 25 février 2013
17 février 1859 : Prise de Saïgon par le vice-amiral Rigault de Genouilly
Février 1859: bombardement de Saigon par la flotte française. Tableau de Morel-Fatio, Musée national de la Marine. |
La Cochinchine faisait partie de l'empire d'Annam. Un massacre des missionnaires français, ordonné en 1858 par l'empereur Tu-Duc, servit de prétexte pour intervenir. En février 1859, une flotte française commandée par l'amiral Charles Rigault de Genouilly (1807-1873) débarquait au Cap Saint-Jacques, remontait la rivière de Saïgon, et donnait l'assaut de la ville de Saïgon qui tomba (17 février 1859).
Rappelé en Chine en avril 1859 avec le gros de ses forces, Genouilly laissa une petite garnison sous le commandement du capitaine de Frégate Bernard Jauréguiberry.
La force de Jauréguiberry étais composée d'une compagnies d'infanterie de marine française, une compagnies d'infanteries légère philippine sous commandement espagnol et 400 marins de l'artillerie. De Genouilly laissa aussi la corvette Primauguet, les canonnières Avalanche et Dragonne et le navire de transport Durance. La garnison fut relevée par le vice-amiral Théogène François Page en décembre 1859. Celui-ci fut chargé de propositions de paix que l'empereur Tu-Duc refusa.
Laplace, comme Primauguet, de la classe Phlégéton, mais un peu plus petit et plus rapide que ceux-ci. |
Déplacement 1658 t. Dimensions : 61,60m x 11,40m x 5,13m - Vitesse 9,8 nœuds - Effectif 199 hommes - Propulsion: une hélice - machine Maeline de 400chn, 960che - charbon : 280t
voilure : 1 400 m² - Armement 1854: 4 de 30 ; 2 obusiers de 22cm de 8 en 1864
1865: 14x18cm rayés, 2 obusiers de 4 de montagne, 4 espingoles.
Canonnière Flamme de la même classe que Avalanche et Dragonne. |
Dimensions: 45.40m x 7,76m x 2,37m - Déplacement : 484 t, 495 tpc - Propulsion : une hélice - une machine Schneider de 110 ch - charbon 41t - voilure : 533 m² - Armement : 1855, 4 canons de 50 mais changements après la guerre de Crimée - Equipage 79 hommes
Yonne, de la classe Isère, tout comme Durance. |
Dimensions 73,32m x 12,90m x 7,47m - Déplacement 950 à 1200 tx - 2685 à 2950 t - Vitesse 7,5 à 9 nœuds (vapeur) - 11 nœuds (voile et vapeur) - Effectif 153 hommes - Propulsion: une hélice avec puits - machine à vapeur type Mazeline ou Indret (Marne) 150 ou 163 chn, 363 che - charbon: 160 à 175 t - voilure: 1930 m²
distance franchissable : 2000 nœuds à 9 nœuds
armement: 4x12 NR3 ou canons obusiers. L'armement donné est celui d'origine. Il semble qu'il ait fortement varié au cours des années. Ainsi pour la Durance, on trouve successivement 6 obusiers de 30 au neuvage, puis 8 obusiers en 1856, puis 4 en 1866, et enfin 4 de 14 cm en 1869.
Source: le site de notre ami Alain Clouet sur La flotte de Napoléon III (cliquez ici)
En février 1861, l'amiral Charner arrive à Saïgon à bord de la frégate Impératrice Eugénie et organise l'attaque des lignes de défense annamites, au sud de Saïgon.
La fin des opérations de Chine décide Napoléon III à concentrer ses efforts sur la prises de Ki Hoa (22 février) et My Tho (13 avril), prise de Bien Hoa (17 décembre), prise de Vinh Long (22 mars 1862).
Tout cela amène finalement l'empereur Tu-Duc à conclure un traité de paix (5 juin 1862). La France reçoit les provinces de Saïgon, Bien Hoa, My Tho ainsi que l'île de Poulo Condore. Ce traité garantit aussi le libre exercice du culte catholique et l'ouverture au commerce des ports de Haïphong, Hanoï (sur le fleuve Rouge) et Qui Nhon sur les côtes d'Annam.
La Cochinchine sera définitivement unifiée en 1867 par l'annexion des trois provinces de l'Ouest de Vinh Long, Chau Doc et Ha Tien par le vice-amiral de La Grandière, gouverneur de la colonie.
vendredi 22 février 2013
22 décembre 1952 : échouement du Champollion au sud de Beyrouth
Le paquebot Champollion des Messageries maritimes. |
Le paquebot Champollion après la modification de 1951. Il a perdu deux cheminées. |
Il s'échoue et est brisé en deux le 22 décembre 1952, à 5h45, sur les récifs de la plage de Khaldeh, au sud de Beyrouth. L'accident est dû à une erreur de navigation, l'officier de quart ayant confondu le phare de l'aéroport nouvellement installé avec celui de Beyrouth. Le bilan fut de dix-sept morts, noyés, tués contre les brisants ou asphyxiés dans le mazout. Trois Libanais, les frères Baltagi : Radwan, Mahmoud et Salah, réussirent à faire la navette avec leur petit bateau et à sauver le reste des passagers.
22 décembre 1952 : échouement du Champollion au sud de Beyrouth. coll agence Adhémar |
22 décembre 1952 : échouement du Champollion au sud de Beyrouth
Le paquebot Champollion des Messageries maritimes. |
Le paquebot Champollion après la modification de 1951. Il a perdu deux cheminées. |
Il s'échoue et est brisé en deux le 22 décembre 1952, à 5h45, sur les récifs de la plage de Khaldeh, au sud de Beyrouth. L'accident est dû à une erreur de navigation, l'officier de quart ayant confondu le phare de l'aéroport nouvellement installé avec celui de Beyrouth. Le bilan fut de dix-sept morts, noyés, tués contre les brisants ou asphyxiés dans le mazout. Trois Libanais, les frères Baltagi : Radwan, Mahmoud et Salah, réussirent à faire la navette avec leur petit bateau et à sauver le reste des passagers.
22 décembre 1952 : échouement du Champollion au sud de Beyrouth. coll agence Adhémar |
jeudi 21 février 2013
Le cargo Amiral-Troude (1904) à quai aux appontements de Pauillac
Le cargo Amiral-Troude (1904) à quai aux appontements de Pauillac. Coll agence Adhémar |
Amiral-Troude s'est illustré pendant la Première Guerre mondiale. Le 22 septembre 1917, il
récupère par 45°21 N et 07°39W, l'équipage du trois-mâts nantais Marthe Marguerite coulé au canon trois jours plus tôt par l'U 54 du KL Kurt Heeseler. Le lendemain, à 08h30, il est manqué de peu par une torpille qui passe à 20 mètres sur son arrière. Il débarquera les naufragés à Dakar le 30 septembre.
En août 1929, il est vendu à la démolition à Gênes.
*Troude (1762-1824), officier de la Marine marchande devenu enseigne et qui se distingua au cours de nombreux combats. Contre-amiral en 1811, il ramena Louis XVIII en France, d'Angleterre à Calais, à bord du Lys. Il fut mis à la retraite en 1816.
Le cargo Amiral-Troude à quai à Dunkerque. |
Le cargo Amiral-Troude (1904) à quai aux appontements de Pauillac
Le cargo Amiral-Troude (1904) à quai aux appontements de Pauillac. Coll agence Adhémar |
Amiral-Troude s'est illustré pendant la Première Guerre mondiale. Le 22 septembre 1917, il
récupère par 45°21 N et 07°39W, l'équipage du trois-mâts nantais Marthe Marguerite coulé au canon trois jours plus tôt par l'U 54 du KL Kurt Heeseler. Le lendemain, à 08h30, il est manqué de peu par une torpille qui passe à 20 mètres sur son arrière. Il débarquera les naufragés à Dakar le 30 septembre.
En août 1929, il est vendu à la démolition à Gênes.
*Troude (1762-1824), officier de la Marine marchande devenu enseigne et qui se distingua au cours de nombreux combats. Contre-amiral en 1811, il ramena Louis XVIII en France, d'Angleterre à Calais, à bord du Lys. Il fut mis à la retraite en 1816.
Le cargo Amiral-Troude à quai à Dunkerque. |
mercredi 20 février 2013
Le port de Rouen vers 1970
Le port de Rouen vers 1970. Coll agence Adhémar |
Le port de Rouen vers 1970, au premier plan, le cargo Blankensee (IMO 7803827) construit en 1978 au chantier VEB Schiffswerft Neptun de Rostock. Appartenant actuellement à Fusco de Fuzhou, Chine. Coll agence Adhémar |
Le port de Rouen vers 1970, au premier plan, un cargo chinois. Coll agence Adhémar |
Le port de Rouen vers 1970
Le port de Rouen vers 1970. Coll agence Adhémar |
Le port de Rouen vers 1970, au premier plan, le cargo Blankensee (IMO 7803827) construit en 1978 au chantier VEB Schiffswerft Neptun de Rostock. Appartenant actuellement à Fusco de Fuzhou, Chine. Coll agence Adhémar |
Le port de Rouen vers 1970, au premier plan, un cargo chinois. Coll agence Adhémar |
Seven Viking (IMO 9619373)
© Mercator Media 2013 |
Parmi ses équipements innovants, citons un système de manipulation et de levage qui permet de relever des équipements sous-marins pesant jusqu'à 70 tonnes au travers d'un bassin interne et dans les meilleures conditions de sécurité. Toutes les installations de travail sont réunies dans un important hangar dominé par des fenêtres panoramiques qui le sépare d'une salle de contrôle. Le navire répond, bien évidemment, aux dernières normes de préservation de l'environnement...
Le navire est affrété par Statoil pour une durée de cinq ans et son utilisation est prévue en mer du Nord au large de la Norvége.
Vous pouvez retrouver plusieurs clichés de l'intérieur de ce navire sur Shipspotting.
Voir le livre "Navires spécialisés"
Voir le livre "Brise-glaces de la Route du Nord et de la mer Baltique".
mardi 19 février 2013
18 septembre 1740 : Le tour du monde de Lord Anson
Série de timbre émise par la poste de Guernesey pour commémorer le 250e anniversaire du tour du monde de Lord Anson. Le premier timbre montre le troisième lieutenant du HMS Centurion, Philip Saumarez, dont le cahier de voyage découvert en 1974 apporte une lumière nouvelle sur la désastreuse expédition (d'un point de vue humain car la saisie du trésor de Manille fut largement célébrée). Coll agence Adhémar |
Les navires de guerre de la flotte de Anson au départ de Portsmouth en 1740. |
L’escadre formée à Portsmouth était composée de deux bateaux de transport (pour les apparaux de rechange et les marchandises), Industry et Anna et de six bateaux de guerre (un vaisseau de ligne, quatre frégates et un sloop) : Centurion, navire-amiral, vaisseau de 4 °rang, jaugeant 1 005 tonneaux, 60 bouches à feu, 400 hommes ; Gloucester et Severn, 853 t., 50 canons, 300 hommes ; Pearle, 600 t., 40 canons, 250 hommes ; Wager, 599 t., 24 canons, 120 hommes et Tryal, sloop de 200 t., 8 canons, 70 hommes, destiné aux liaisons rapides et aux eaux peu profondes.
18 septembre 1740 : Le tour du monde de Lord Anson
Série de timbre émise par la poste de Guernesey pour commémorer le 250e anniversaire du tour du monde de Lord Anson. Le premier timbre montre le troisième lieutenant du HMS Centurion, Philip Saumarez, dont le cahier de voyage découvert en 1974 apporte une lumière nouvelle sur la désastreuse expédition (d'un point de vue humain car la saisie du trésor de Manille fut largement célébrée). Coll agence Adhémar |
Les navires de guerre de la flotte de Anson au départ de Portsmouth en 1740. |
L’escadre formée à Portsmouth était composée de deux bateaux de transport (pour les apparaux de rechange et les marchandises), Industry et Anna et de six bateaux de guerre (un vaisseau de ligne, quatre frégates et un sloop) : Centurion, navire-amiral, vaisseau de 4 °rang, jaugeant 1 005 tonneaux, 60 bouches à feu, 400 hommes ; Gloucester et Severn, 853 t., 50 canons, 300 hommes ; Pearle, 600 t., 40 canons, 250 hommes ; Wager, 599 t., 24 canons, 120 hommes et Tryal, sloop de 200 t., 8 canons, 70 hommes, destiné aux liaisons rapides et aux eaux peu profondes.
lundi 18 février 2013
L'aventure du Nautilus
« On sait que l'explorateur Hubert Wilkins se propose d'atteindre le pôle avec un sous-marin spécialement armé et agencé à cet effet qui a reçu le nom symbolique de Nautilus.
Soigneusement réparé, revisé et mis au point à Queenstown, le sous-marin a pris la mer pour couvrir la seconde étape de son voyage qui devait le conduire à l'extrémité septentrionale de la Norvège, à Tromso. Après divers incidents qui retardèrent sa marche, le sous-marin arrivait le 9 août dans ce port. Il en repartait un peu plus tard et, non sans quelques nouveaux incidents, il atteignait le Spitzberg à Longyear le soir du 15 août 1931.»
Source : L'Illustration du 22 août 1931. Coll agence Adhémar
L'aventure du Nautilus
« On sait que l'explorateur Hubert Wilkins se propose d'atteindre le pôle avec un sous-marin spécialement armé et agencé à cet effet qui a reçu le nom symbolique de Nautilus.
Soigneusement réparé, revisé et mis au point à Queenstown, le sous-marin a pris la mer pour couvrir la seconde étape de son voyage qui devait le conduire à l'extrémité septentrionale de la Norvège, à Tromso. Après divers incidents qui retardèrent sa marche, le sous-marin arrivait le 9 août dans ce port. Il en repartait un peu plus tard et, non sans quelques nouveaux incidents, il atteignait le Spitzberg à Longyear le soir du 15 août 1931.»
Source : L'Illustration du 22 août 1931. Coll agence Adhémar
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