mercredi 20 février 2013

Le port de Rouen vers 1970

Le port de Rouen vers 1970. Coll agence Adhémar

Le port de Rouen vers 1970, au premier plan, le cargo Blankensee (IMO 7803827) construit en 1978 au chantier VEB Schiffswerft Neptun de Rostock. Appartenant actuellement à Fusco de Fuzhou, ChineColl agence Adhémar
Le port de Rouen vers 1970, au premier plan, un cargo chinoisColl agence Adhémar
La reconstruction du port de Rouen, détruit pendant la Seconde Guerre mondiale, sera longue. Des progrès très importants sont réalisés grâce à l’aménagement du nouveau chenal de l’estuaire ouvert en 1960. Le trafic passe de 10 Mt en 1963 à 13 Mt en 1970 et atteint pour la première fois le seuil des 20 Mt en 1979. La structure du trafic se modifie profondément. En 1968, les céréales, farines, sucres et produits pétroliers, deviennent majoritaires pour la première fois dans le trafic. Le grand port maritime de Rouen n'est que le 28e port européen et le 5e français, mais c'est le 1er port européen pour les céréales et le 1er français pour la farine et les engrais.


Le port de Rouen vers 1970

Le port de Rouen vers 1970. Coll agence Adhémar

Le port de Rouen vers 1970, au premier plan, le cargo Blankensee (IMO 7803827) construit en 1978 au chantier VEB Schiffswerft Neptun de Rostock. Appartenant actuellement à Fusco de Fuzhou, ChineColl agence Adhémar
Le port de Rouen vers 1970, au premier plan, un cargo chinoisColl agence Adhémar
La reconstruction du port de Rouen, détruit pendant la Seconde Guerre mondiale, sera longue. Des progrès très importants sont réalisés grâce à l’aménagement du nouveau chenal de l’estuaire ouvert en 1960. Le trafic passe de 10 Mt en 1963 à 13 Mt en 1970 et atteint pour la première fois le seuil des 20 Mt en 1979. La structure du trafic se modifie profondément. En 1968, les céréales, farines, sucres et produits pétroliers, deviennent majoritaires pour la première fois dans le trafic. Le grand port maritime de Rouen n'est que le 28e port européen et le 5e français, mais c'est le 1er port européen pour les céréales et le 1er français pour la farine et les engrais.


Seven Viking (IMO 9619373)

© Mercator Media 2013
Le Seven Viking (IMO 9619373), figure certainement parmi les navires les plus impressionnants à regarder. Construit par le chantier norvégien Ulstein, il est la propriété de deux compagnies (Eidesvik et Subsea 7) et est destiné à l'inspection, la maintenance et la réparation (IMR) des installations pétrolières sous-marines. Il a été lancé le 17 octobre 2012 puis présenté et officiellement baptisé à Stavanger le 30 janvier 2013 par Mrs Christine Sagen Helgø, maire de Stavanger.

Parmi ses équipements innovants, citons un système de manipulation et de levage qui permet de relever des équipements sous-marins pesant jusqu'à 70 tonnes au travers d'un bassin interne et dans les meilleures conditions de sécurité. Toutes les installations de travail sont réunies dans un important hangar dominé par des fenêtres panoramiques qui le sépare d'une salle de contrôle. Le navire répond, bien évidemment, aux dernières normes de préservation de l'environnement...

Le navire est affrété par Statoil pour une durée de cinq ans et son utilisation est prévue en mer du Nord au large de la Norvége.






Vous pouvez retrouver plusieurs clichés de l'intérieur de ce navire sur Shipspotting.

Voir le livre "Navires spécialisés"

Voir le livre "Brise-glaces de la Route du Nord et de la mer Baltique".