mercredi 30 novembre 2011

La Route du Nord dans la presse


Quelques jours à peine après la sortie en librairie du livre "Brise-glaces européens", nouveau volume de la collection "Navires spécialisés" des éditions MDV dont sont extraits ces deux clichés, la presse numérique publie plusieurs articles ayant trait à la Route du Nord et à l'exploitation des richesses arctiques, deux sujets que nous avions abordés dans ce livre. Voir l'article de Meretmarine.com et celui de la Voix de la Russie.


Pour commander le livre "Brise-glaces européens", cliquer ici.

La Route du Nord dans la presse


Quelques jours à peine après la sortie en librairie du livre "Brise-glaces européens", nouveau volume de la collection "Navires spécialisés" des éditions MDV dont sont extraits ces deux clichés, la presse numérique publie plusieurs articles ayant trait à la Route du Nord et à l'exploitation des richesses arctiques, deux sujets que nous avions abordés dans ce livre. Voir l'article de Meretmarine.com et celui de la Voix de la Russie.


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lundi 28 novembre 2011

Rencontre au sommet à New York, Cunard contre French Line


Normandie, réquisitionné par les Américains en 1941 sous le nom de Lafayette, est destiné au transport de troupes. Pendant les travaux, il est rejoint par Queen Mary qui porte déjà sa livrée grise de combat, puis par Queen Elizabeth (ci-dessous).


Rencontre au sommet à New York, Cunard contre French Line.

Rencontre au sommet à New York, Cunard contre French Line


Normandie, réquisitionné par les Américains en 1941 sous le nom de Lafayette, est destiné au transport de troupes. Pendant les travaux, il est rejoint par Queen Mary qui porte déjà sa livrée grise de combat, puis par Queen Elizabeth (ci-dessous).
Rencontre au sommet à New York, Cunard contre French Line.

samedi 26 novembre 2011

1940 Une scène originale de la guerre sur mer


12 mai 1940 La Diligente avec un camion sur la passerelle

Voici une photo et une anecdote originales, l'époque manquait cruellement de matière à sourire.
Le 12 mai 1940, la canonnière La Diligente est amarrée à un appontement à Flessingue, aux Pays Bas. Elle apporte du carburant pour les combattants, un camion citerne vient se ravitailler. Attaqué par cinq bombardiers allemands, le lieutenant de vaisseau Le Roux donne l'ordre de dégager le camion citerne, lorsqu'une bombe explose sur l'appontement à cinq mètres du bord et fait voltiger le véhicule qui retombe sur la passerelle de La Diligente. Dans l'impossibilité de dégager le camion, il rentre à Dunkerque après avoir bâché le camion dont la couleur rouge risquait d'attirer l'attention.
Anecdote trouvée sur le site de l'Association ALAMER.
Alain

1940 Une scène originale de la guerre sur mer

12 mai 1940 La Diligente avec un camion sur la passerelle

Voici une photo et une anecdote originales, l' époque manquait cruellement de matière à sourire.
Le 12 mai 1940, la canonnière La Diligente est amarrée à un appontement à Flessingue, aux Pays Bas. Elle apporte du carburant pour les combattants, un camion citerne vient se ravitailler. Attaqué par cinq bombardiers allemands, le lieutenant de vaisseau Le Roux donne l'ordre de dégager le camion citerne, lorsqu'une bombe explose sur l'appontement à cinq mètres du bord et fait voltiger le véhicule qui retombe sur la passerelle de La Diligente. Dans l'impossibilité de dégager le camion, il rentre à Dunkerque après avoir bâché le camion dont la couleur rouge risque d'attirer l'attention.
Anecdote trouvée sur le site de l'Association ALAMER.
Alain

vendredi 25 novembre 2011

Saisies de navires français pendant la guerre italo-turque (1911-1912)


Le 28 septembre 1911, l'Italie déclare la guerre à l'empire ottoman. Ce conflit a pour origine l'entrave éprouvée par des commerçants italiens à établir des relations avec la Libye. Devant le refus ottoman de résoudre ce problème, le gouvernement italien décide d'employer la force. Rapidement, les troupes italiennes envoyées en Libye, commandées par Carlo Caneva et largement supérieures aux troupes turques d'Ismaïl Enver à la fois par le nombre et la technologie, s'emparent de la ville de Tripoli et occupent la côte.

Ce serait au cours de ce conflit qu'aurait eu lieu, le 1er novembre 1911, le premier "bombardement aérien" de l'histoire lorsque le lieutenant Giulio Gavotti de l'aviation italienne lâcha des grenades sur les forces turques depuis les airs. Sur le plan naval, c'est la bataille de Bataille de Kunfuda (7 janvier 1912) qui est généralement retenue comme la plus importante du conflit.

La paix est enfin signée à Ouchy (près de Lausanne) le 18 octobre 1912. L'Italie obtient les provinces de la Tripolitaine, de la Cyrénaïque et des îles du Dodécanèse dont la principale, Rhodes.

La géographie du conflit lui confère un aspect maritime et, malgré la neutralité de la France, trois navires sous pavillon français furent impliqués dans ce conflit. Les deux premières affaires donnèrent lieu à un jugement du tribunal arbitral de La Haye.

L'affaire du Manouba (Compagnie de Navigation Mixte)
Créée en 1850, la Compagnie de Navigation Mixte a comme fonction principale les liaisons reliant la France à l'Afrique du Nord en profitant de la vague de colonisation en cours.

En 1912, elle place Manouba, récemment acquis, sur sa ligne Marseille - Tunis. Construit à Greenock en 1890 pour la Mala Real Portugueza, il fut d'abord Rei di Portugal avant de devenir Napolitan Prince (Prince Line). Jaugeant 3 231 TJB, il emmène 160 passagers.

Le 18 janvier 1912, vers 8 heures du matin, le navire est arrêté au large de l'île San Pietro par le torpilleur italien Agordat. Voyons les faits tels qu'ils sont relatés dans l'aperçu du tribunal arbitral de La Haye qui sera saisi par la France. "Le Gouvernement ottoman demanda, le 5 janvier 1912, au Gouvernement français de faciliter le passage par Tunis d'une Mission du Croissant-Rouge ottoman désirant se rendre au théâtre de la guerre. Cette demande fut acceptée par le Gouvernement français. Toutefois, l'ambassadeur d'Italie ayant protesté contre la concession de cette faveur, le Gouvernement français lui donna l'assurance que les sujets ottomans en question étaient des membres de la Mission du Croissant-Rouge, et ordonna aux autorités de Tunis de s'assurer de ce fait, avant de laisser passer lesdits sujets ottomans. L'ambassadeur d'Italie fut satisfait de ce renseignement, ainsi que des mesures prises, et il envoya une communication à cet effet à son Gouvernement. Cependant, avant que cette communication fût arrivée à destination, le Manouba, navire français transportant lesdits sujets ottomans, fut saisi le 18 janvier 1912, par un vaisseau de guerre italien, et conduit à Cagliari, où il arriva le même jour. Les italiens, maintenant que ces sujets ottomans portaient des armes et de l'argent à destination des forces ottomanes à Tripoli, exigèrent qu'ils leur fussent livrés, et ils saisirent le navire, sur le refus du capitaine du Manouba de faire suite à la sommation. L'ambassade de France fut informée de ce qui s'était passé, et après avoir reçu l'assurance de la part des italiens que les passagers ottomans étaient des militaires, instruisit le vice-consul français à Cagliari de remettre ces passagers aux autorités italiennes."

Le vice-consul de France ayant accepté le 19 janvier de remettre ces passagers aux mains des autorités italiennes, le Manouba est relâché et peut reprendre sa route.

Par la suite, une note est établie le 26 janvier 1912 par l'ambassadeur de France et le ministre des Affaires étrangères d'Italie qui après avoir examiné "… dans l'esprit le plus cordial les circonstances qui ont précédé et suivi l'arrêt et la visite par un croiseur italien de deux vapeurs français se rendant de Marseille à Tunis, ont été heureux de constater, d'un commun accord et avant toute autre considération, qu'il n'en résultait de la part d'aucun des deux pays aucune intention contraire aux sentiments de sincère et constante amitié qui les unissent." Le contenu de cette note nous donne des précisions sur le sort des officiers turcs : "… Dans le but de rétablir le statu quo ante en ce qui concerne les personnes, les passagers ottomans saisis, ces derniers seront remis au consul de France à Cagliari, pour être reconduits par ses soins à leur lieu d'embarquement, sous la responsabilité du gouvernement français, qui prendra les mesures nécessaires pour empêcher que les passagers ottomans n'appartenant pas au « Croissant Rouge », mais à des corps combattants, se rendent d'un port français en Tunisie ou sur le théâtre des opérations militaires."

Le tribunal, saisi par les deux parties, jugea que la marine italienne ne pouvait légalement saisir le vapeur français mais que le gouvernement italien pouvait emprisonner les passagers turcs.

L'affaire du Carthage (Compagnie Générale Transatlantique)
Lancé à Newcastle pour la Cgt et mis en service en 1910 au départ de Marseille sur les lignes d'Afrique du Nord de la célèbre compagnie, ce beau navire (5 275 TJB) connut des débuts de carrière difficiles en raison de nombreux problèmes mécaniques.


Le 16 janvier 1912, à 6 heures 30, le paquebot se trouve alors à 17 milles des côtes de la Sardaigne en route vers Tunis. Il est alors arraisonné par le torpilleur Agordat de la marine royale italienne. Son inspection révèle la présence à bord d'un avion. Bien que celui-ci soit destiné à participer à un meeting aérien qui doit avoir lieu prochainement à Tunis, les officiers italiens le considèrent comme "contrebande de guerre". Devant l'impossibilité de le transborder à leur bord, le paquebot est saisi et emmené à Cagliari. Il y restera jusqu'au 20 janvier.
Le tribunal arbitral de La Haye, saisi par le gouvernement français, jugera le 6 mai 1913 que "les autorités navales italiennes n'étaient pas en droit de procéder… à la saisie… du vapeur postal" et condamnera le gouvernement royal italien.

À l'issue des ces deux saisies les navires furent donc libérés et retrouvèrent leurs fonctions habituelles au sein de leurs compagnies. Par la suite, Manouba sera vendu à la démolition en 1929. Le paquebot Carthage sera coulé le 4 juillet 1915 lors des opérations des Dardanelles.

Le cas du Tavignano (Compagnie de Navigation Mixte)
Enfin, citons l'affaire du Tavignano de la Compagnie de Navigation Mixte. Ce petit cargo (à peine plus de 47 mètres de long, 290 TJB), construit en 1904, est entré à la compagnie en 1906. Il est saisi par les Italiens le 19 janvier 1912 après avoir été accusé de transporter des avions destinés aux forces turques. Il est relâché ultérieurement après négociations. Cette affaire sera réglée par voie diplomatique et ne donnera donc pas lieu à une sentence de la cour de La Haye, contrairement aux deux précédentes.




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lundi 21 novembre 2011

Le caboteur Umzimvubu à port St John au Transkei

Timbre commémoratif du port historique St Johns (1986)

Le vapeur Umzimvubu (là où vivent les hippopotames en Xhosa) a été construit sous le n° 371 par Edwards & Co de Millwall (Londres), pour Charles George Smith de Natal (Afrique du Sud). Ce cargo côtier de 150 tonnes, mû par deux moteurs à piston de 64 cv à la vitesse de 10 nœuds, est lancé en 1896. Conçu pour le cabotage sur les côtes d’Afrique du Sud, durant la Guerre des Boers, il est bateau postal entre East London et Port Elizabeth et se fait connaître par sa ponctualité en dépit des tempêtes mais aussi pour être le plus inconfortable des côtiers, roulant et tanguant comme pas un. Il transporte Winston Churchill de Durban à East London peu après son évasion de chez les Boers. Celui-ci commente son voyage comme le pire qu’il ait connu : “that my trip on the Umzimvubu to East London was the worst that I have ever experienced, as the beastly little boat rolled and pitched at the same time.
Umzimvubu participe à toutes les aventures du développement du Transkei jusqu’à ce qu’il soit racheté par la British & South American Steamship Co, “Houston” Line à Cape Town. Rebaptisé Namaqua, il assure le service entre Cape Town et Port Nolloth. Il termine sa carrière à Durban dans une campagne de protection contre les requins. Quand il fut décidé de le saborder, le remorqueur Sir John Robinson lui fit rejoindre quatre autres épaves au large de Durban le 12 novembre 1932.

Le caboteur Umzimvubu à port St John au Transkei

Timbre commémoratif du port historique St Johns (1986)

Le vapeur Umzimvubu (là où vivent les hippopotames en Xhosa) a été construit sous le n° 371 par Edwards & Co de Millwall (Londres), pour Charles George Smith de Natal (Afrique du Sud). Ce cargo côtier de 150 tonnes, mû par deux moteurs à piston de 64 cv à la vitesse de 10 nœuds, est lancé en 1896. Conçu pour le cabotage sur les côtes d’Afrique du Sud, durant la Guerre des Boers, il est bateau postal entre East London et Port Elizabeth et se fait connaître par sa ponctualité en dépit des tempêtes mais aussi pour être le plus inconfortable des côtiers, roulant et tanguant comme pas un. Il transporte Winston Churchill de Durban à East London peu après son évasion de chez les Boers. Celui-ci commente son voyage comme le pire qu’il ait connu : “that my trip on the Umzimvubu to East London was the worst that I have ever experienced, as the beastly little boat rolled and pitched at the same time.
Umzimvubu participe à toutes les aventures du développement du Transkei jusqu’à ce qu’il soit racheté par la British & South American Steamship Co, “Houston” Line à Cape Town. Rebaptisé Namaqua, il assure le service entre Cape Town et Port Nolloth. Il termine sa carrière à Durban dans une campagne de protection contre les requins. Quand il fut décidé de le saborder, le remorqueur Sir John Robinson lui fit rejoindre quatre autres épaves au large de Durban le 12 novembre 1932.

dimanche 20 novembre 2011

Les fêtes arrivent...

Les rues de nos villes commencent à se parer pour les fêtes qui arrivent. C'est le moment de commencer à penser aux "idées-cadeaux"... Elles ne manquent pas aux éditions MDV. Pour faire plaisir, voire pour se faire plaisir, en voici quelques-unes, piochées dans nos publications les plus récentes :

"France Norway" dont le cinquantenaire du voyage inaugural sera célébré dans quelques semaines :

et son corollaire "Histoire de France par la maquette"

la biographie et les œuvres de Sandy Hook qu'il est toujours agréables de revoir, tant elles rappellent une époque disparue :

la "Cunard et les majestés de l'Atlantique" qui, elle, sont toujours bien vivantes :

sans oublier les "Navires Spécialisés" moins prestigieux mais également passionnants par leur technologie adaptée à des travaux spécifiques :
et, enfin, Brise-glaces (la Baltique et la Route du Nord), un vrai "livre d'hiver" avec des photos de glace dans les mers froides du grand nord européen :

et de belles images de Voiles de légende :

et "Autre chose",le célèbre récit de Nicole van de Kerchove :

Pour commander ces livres auprès des éditions MDV, cliquer sur leur titre.

Bonnes fêtes à tous.

Les fêtes arrivent...

Les rues de nos villes commencent à se parer pour les fêtes qui arrivent. C'est le moment de commencer à penser aux "idées-cadeaux"... Elles ne manquent pas aux éditions MDV. Pour faire plaisir, voire pour se faire plaisir, en voici quelques-unes, piochées dans nos publications les plus récentes :

"France Norway" dont le cinquantenaire du voyage inaugural sera célébré dans quelques semaines :

et son corollaire "Histoire de France par la maquette"

la biographie et les œuvres de Sandy Hook qu'il est toujours agréables de revoir, tant elles rappellent une époque disparue :

la "Cunard et les majestés de l'Atlantique" qui, elle, sont toujours bien vivantes :

sans oublier les "Navires Spécialisés" moins prestigieux mais également passionnants par leur technologie adaptée à des travaux spécifiques :
et, enfin, Brise-glaces (la Baltique et la Route du Nord), un vrai "livre d'hiver" avec des photos de glace dans les mers froides du grand nord européen :

et de belles images de Voiles de légende :

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Bonnes fêtes à tous.

Comparaison entre deux formes de coque

Le 7 avril 2006, le chantier norvégien Ulstein (depuis longtemps considéré comme un spécialiste de la conception et de la construction des navires supply) procédait à la livraison du Bourbon Orca, premier navire AHTS (Anchor Handling Tug Supply Vessel) d’une nouvelle génération.


C'est bien évidemment le dessin de sa coque à étrave inversée que l'on remarque immédiatement. L'“Ulstein X-Bow” est destiné à réduire la consommation de carburant, diminuer les vibrations, accroitre la vitesse et améliorer la tenue à la mer. Le bateau pourra donc rester opérationnel par des mers plus fortes. Mais ce navire présente d’autres innovations, moins visibles et tout aussi importantes. Il est en effet doté d’un système de relevage d’ancres automatisé baptisé SAHS (Safe Anchor Handling System) qui permet de supprimer toute intervention humaine et donc d’améliorer de façon significative la sécurité. Enfin, il est l’un des rares navires de ce type à être doté d’une propulsion diesel-électrique permettant d’abaisser le coût d’exploitation et de diminuer la production de gaz nocifs pour l’environnement.

Caractéristiques principales :
Longueur HT : 86,20 m
Largeur : 18,50 m
Tirant d'eau : 7 m
Creux : 8,50 m
Moteurs principaux : 4 x 2 880 kW à 720 tr/min (11 520 kW)
2 x 1 665 kW à 900 tr/min (3 330 kW)
Propulsion principale : 2 propulseurs de 5 000 kW azimutaux avec tuyères
Vitesse : 16,5 nds
Capacité de traction : 180 t
Port en lourd au tirant d’eau maxi. : 3 500 t
Jauge brute : 4 089
Jauge nette : 1 226
Charge en pontée : 1 200 t à 10,0 t/m2
Surface de pont : 540 m2 (35,30 m x 15,30 m)

La vidéo ci-dessous permet de comparer le comportement des deux types de coque :



Rapidement, de nombreuses compagnies se dotent de navires de ce type et le modèle est décliné sous plusieurs tailles.



(Clichés Bourbon et Ulstein)

jeudi 17 novembre 2011

Liberty ship Caen



Nous avons récemment évoqué les Liberty ships à l'occasion de la sortie du nouveau livre de Jean-Yves Brouard qui en est un spécialiste. Il nous a fait l'amitié (et nous l'en remercions) de nous faire parvenir ces deux clichés montrant le Caen. La vue aérienne le montre sous son état d'origine, encore sous pavillon américain.

Liberty ship Caen



Nous avons récemment évoqué les Liberty ships à l'occasion de la sortie du nouveau livre de Jean-Yves Brouard qui en est un spécialiste. Il nous a fait l'amitié (et nous l'en remercions) de nous faire parvenir ces deux clichés montrant le Caen. La vue aérienne le montre sous son état d'origine, encore sous pavillon américain.

mardi 15 novembre 2011

Nouveau livre : Brise-glaces européens de Gilles Barnichon


Retrouvez dans le dernier titre paru aux éditions MDV (bon de commande)ces navires bien particuliers que sont les brise-glaces. Que ce soit en ouvrant la Route du Nord, en permettant la progression des convois en Arctique au cours de la Seconde guerre mondiale, en favorisant le développement économique des territoires reculés de la Russie, ils contribuent, depuis un peu plus d'un siècle, à écrire l'histoire maritime. Tous les ans, au cours de l'hiver, ce sont eux qui permettent aux états scandinaves de continuer à commercer malgré les glaces qui paralysent la Baltique.


Des premiers brise-glaces construits en Angleterre pour l'empire russe jusqu'au derniers lancés par les chantiers russes ou finlandais, ils figurent dans ce livre riche en illustrations inédites.