«...on ne revient jamais tout à fait de Patagonie»
Ainsi se terminait le dernier livre de Nicole van de Kerchove.
Il y a quelques semaines, pendant que nous discutions au téléphone de son nouveau livre, elle me redisait son plaisir de profiter de son manoir de Belle Fontaine à Pontrieux et de pouvoir pratiquer tranquillement ce qu’elle a souvent présenté comme sa vraie passion, la musique.
Mais, pour une dernière fois,
l’appel de la Patagonie
a été le plus fort !
Nicole van de Kerchove, âgée de 62 ans, est décédée brutalement en Patagonie, où elle voyageait à pied avec des amis. Elle nous a quittés à Ushuaia, emportée par une crise cardiaque.
Pour beaucoup des rêves de voyage et de croisière sur toutes les mers sont nés de la lecture de ses livres Sept fois le Tour du Soleil et de L’Esquilo en Patagonie.
Loic Fougeron disait d’elle « je n’ai jamais rencontré une femme marin comme elle ».
Cette amoureuse de la vie que nous n’avons malheureusement pas assez connue, nous manquera, nous manque déjà.
Nous présentons nos condoléances les plus sincères à ses enfants, Sabrina, Kevin et Kim, à ses proches et à ses nombreux amis.
Christian Mouquet et les auteurs de Maîtres du Vent
Histoire maritime internationale - Marines marchande ou de guerre - Grands et petits voiliers - Culture maritime (antiquariat, memorabilia, littérature, peinture…) - Tout ce qui concerne la mer et les lacs et ceux qui naviguent dessus (ou dessous) nous passionne…
vendredi 29 février 2008
Dernière étape pour Nicole van de Kerchove
«...on ne revient jamais tout à fait de Patagonie»
Ainsi se terminait le dernier livre de Nicole van de Kerchove.
Il y a quelques semaines, pendant que nous discutions au téléphone de son nouveau livre, elle me redisait son plaisir de profiter de son manoir de Belle Fontaine à Pontrieux et de pouvoir pratiquer tranquillement ce qu’elle a souvent présenté comme sa vraie passion, la musique.
Mais, pour une dernière fois,
l’appel de la Patagonie
a été le plus fort !
Nicole van de Kerchove, âgée de 62 ans, est décédée brutalement en Patagonie, où elle voyageait à pied avec des amis. Elle nous a quittés à Ushuaia, emportée par une crise cardiaque.
Pour beaucoup des rêves de voyage et de croisière sur toutes les mers sont nés de la lecture de ses livres Sept fois le Tour du Soleil et de L’Esquilo en Patagonie.
Loic Fougeron disait d’elle « je n’ai jamais rencontré une femme marin comme elle ».
Cette amoureuse de la vie que nous n’avons malheureusement pas assez connue, nous manquera, nous manque déjà.
Nous présentons nos condoléances les plus sincères à ses enfants, Sabrina, Kevin et Kim, à ses proches et à ses nombreux amis.
Christian Mouquet et les auteurs de Maîtres du Vent
Ainsi se terminait le dernier livre de Nicole van de Kerchove.
Il y a quelques semaines, pendant que nous discutions au téléphone de son nouveau livre, elle me redisait son plaisir de profiter de son manoir de Belle Fontaine à Pontrieux et de pouvoir pratiquer tranquillement ce qu’elle a souvent présenté comme sa vraie passion, la musique.
Mais, pour une dernière fois,
l’appel de la Patagonie
a été le plus fort !
Nicole van de Kerchove, âgée de 62 ans, est décédée brutalement en Patagonie, où elle voyageait à pied avec des amis. Elle nous a quittés à Ushuaia, emportée par une crise cardiaque.
Pour beaucoup des rêves de voyage et de croisière sur toutes les mers sont nés de la lecture de ses livres Sept fois le Tour du Soleil et de L’Esquilo en Patagonie.
Loic Fougeron disait d’elle « je n’ai jamais rencontré une femme marin comme elle ».
Cette amoureuse de la vie que nous n’avons malheureusement pas assez connue, nous manquera, nous manque déjà.
Nous présentons nos condoléances les plus sincères à ses enfants, Sabrina, Kevin et Kim, à ses proches et à ses nombreux amis.
Christian Mouquet et les auteurs de Maîtres du Vent
mardi 26 février 2008
Bateaux solaires
Poursuivons nos publications de clichés insolites...
Voici aujourd'hui Aquarel, un petit bateau de promenade sur le lac Léman qui a la particularité d'être propulsé exclusivement à l'énergie solaire.
Mais cette propulsion "propre" et donc très "tendance" (pour utiliser le mot à la mode) n'est pas réservée à nos lacs. Une traversée transatlantique a été réalisée grâce à elle et à des ingénieurs helvétiques. En voici l'histoire.
Afin de prouver l’efficacité et la fiabilité de l’énergie solaire dans le domaine de la navigation hauturière, l’association suisse Transatlantic 21 avait pour projet de faire traverser l’Atlantique à une embarcation exclusivement propulsée par cette énergie.
Le bateau choisi (construit, comme Aquarel, par la société suisse MW Line spécialisée dans la construction de bateaux électriques et auparavant utilisé lors de l’Expo 02 sur le lac de Morat pour le transport du public), baptisé Sun 21, est un catamaran ; ses flotteurs en polyester sont reliés par une plateforme en aluminium et en bois. Il mesure 14 mètres de long et 6,6 mètres de large et pèse environ 12 tonnes. Il est équipé de deux moteurs électriques d’une puissance de 8 kW permettant une vitesse maximale de 7 noeuds. L’énergie recueillie par des panneaux solaires (d’une surface totale de 65 m2 sur un pont couvrant la plateforme reliant les deux flotteurs) est stockée dans des accumulateurs au plomb.
Document "Transatlantic 21"
Comme on le voit sur le cliché, le port d'attache est Bâle et le bateau navigue sous pavillon helvètique. Après avoir quitté Bâle le 16 octobre 2006, Sun 21 descend le Rhin et atteint Rotterdam le 26 octobre. Il y est embarqué sur le cargo Joanna afin de gagner Cadix d’où doit avoir lieu le départ de la tentative transatlantique. C’est le 3 décembre que ce départ s’effectue ; le bateau visitera successivement l’archipel des Canaries, la Martinique, la République Dominicaine, les Bahamas et la Floride avant d’arriver à New York où il accostera à la marina de North Cove, près de Battery Park le 8 mai 2007. Il aura parcouru 7 000 milles.
Voici aujourd'hui Aquarel, un petit bateau de promenade sur le lac Léman qui a la particularité d'être propulsé exclusivement à l'énergie solaire.
Mais cette propulsion "propre" et donc très "tendance" (pour utiliser le mot à la mode) n'est pas réservée à nos lacs. Une traversée transatlantique a été réalisée grâce à elle et à des ingénieurs helvétiques. En voici l'histoire.
Afin de prouver l’efficacité et la fiabilité de l’énergie solaire dans le domaine de la navigation hauturière, l’association suisse Transatlantic 21 avait pour projet de faire traverser l’Atlantique à une embarcation exclusivement propulsée par cette énergie.
Le bateau choisi (construit, comme Aquarel, par la société suisse MW Line spécialisée dans la construction de bateaux électriques et auparavant utilisé lors de l’Expo 02 sur le lac de Morat pour le transport du public), baptisé Sun 21, est un catamaran ; ses flotteurs en polyester sont reliés par une plateforme en aluminium et en bois. Il mesure 14 mètres de long et 6,6 mètres de large et pèse environ 12 tonnes. Il est équipé de deux moteurs électriques d’une puissance de 8 kW permettant une vitesse maximale de 7 noeuds. L’énergie recueillie par des panneaux solaires (d’une surface totale de 65 m2 sur un pont couvrant la plateforme reliant les deux flotteurs) est stockée dans des accumulateurs au plomb.
Document "Transatlantic 21"
Comme on le voit sur le cliché, le port d'attache est Bâle et le bateau navigue sous pavillon helvètique. Après avoir quitté Bâle le 16 octobre 2006, Sun 21 descend le Rhin et atteint Rotterdam le 26 octobre. Il y est embarqué sur le cargo Joanna afin de gagner Cadix d’où doit avoir lieu le départ de la tentative transatlantique. C’est le 3 décembre que ce départ s’effectue ; le bateau visitera successivement l’archipel des Canaries, la Martinique, la République Dominicaine, les Bahamas et la Floride avant d’arriver à New York où il accostera à la marina de North Cove, près de Battery Park le 8 mai 2007. Il aura parcouru 7 000 milles.
Bateaux solaires
Poursuivons nos publications de clichés insolites...
Voici aujourd'hui Aquarel, un petit bateau de promenade sur le lac Léman qui a la particularité d'être propulsé exclusivement à l'énergie solaire.
Mais cette propulsion "propre" et donc très "tendance" (pour utiliser le mot à la mode) n'est pas réservée à nos lacs. Une traversée transatlantique a été réalisée grâce à elle et à des ingénieurs helvétiques. En voici l'histoire.
Afin de prouver l’efficacité et la fiabilité de l’énergie solaire dans le domaine de la navigation hauturière, l’association suisse Transatlantic 21 avait pour projet de faire traverser l’Atlantique à une embarcation exclusivement propulsée par cette énergie.
Le bateau choisi (construit, comme Aquarel, par la société suisse MW Line spécialisée dans la construction de bateaux électriques et auparavant utilisé lors de l’Expo 02 sur le lac de Morat pour le transport du public), baptisé Sun 21, est un catamaran ; ses flotteurs en polyester sont reliés par une plateforme en aluminium et en bois. Il mesure 14 mètres de long et 6,6 mètres de large et pèse environ 12 tonnes. Il est équipé de deux moteurs électriques d’une puissance de 8 kW permettant une vitesse maximale de 7 noeuds. L’énergie recueillie par des panneaux solaires (d’une surface totale de 65 m2 sur un pont couvrant la plateforme reliant les deux flotteurs) est stockée dans des accumulateurs au plomb.
Document "Transatlantic 21"
Comme on le voit sur le cliché, le port d'attache est Bâle et le bateau navigue sous pavillon helvètique. Après avoir quitté Bâle le 16 octobre 2006, Sun 21 descend le Rhin et atteint Rotterdam le 26 octobre. Il y est embarqué sur le cargo Joanna afin de gagner Cadix d’où doit avoir lieu le départ de la tentative transatlantique. C’est le 3 décembre que ce départ s’effectue ; le bateau visitera successivement l’archipel des Canaries, la Martinique, la République Dominicaine, les Bahamas et la Floride avant d’arriver à New York où il accostera à la marina de North Cove, près de Battery Park le 8 mai 2007. Il aura parcouru 7 000 milles.
Voici aujourd'hui Aquarel, un petit bateau de promenade sur le lac Léman qui a la particularité d'être propulsé exclusivement à l'énergie solaire.
Mais cette propulsion "propre" et donc très "tendance" (pour utiliser le mot à la mode) n'est pas réservée à nos lacs. Une traversée transatlantique a été réalisée grâce à elle et à des ingénieurs helvétiques. En voici l'histoire.
Afin de prouver l’efficacité et la fiabilité de l’énergie solaire dans le domaine de la navigation hauturière, l’association suisse Transatlantic 21 avait pour projet de faire traverser l’Atlantique à une embarcation exclusivement propulsée par cette énergie.
Le bateau choisi (construit, comme Aquarel, par la société suisse MW Line spécialisée dans la construction de bateaux électriques et auparavant utilisé lors de l’Expo 02 sur le lac de Morat pour le transport du public), baptisé Sun 21, est un catamaran ; ses flotteurs en polyester sont reliés par une plateforme en aluminium et en bois. Il mesure 14 mètres de long et 6,6 mètres de large et pèse environ 12 tonnes. Il est équipé de deux moteurs électriques d’une puissance de 8 kW permettant une vitesse maximale de 7 noeuds. L’énergie recueillie par des panneaux solaires (d’une surface totale de 65 m2 sur un pont couvrant la plateforme reliant les deux flotteurs) est stockée dans des accumulateurs au plomb.
Document "Transatlantic 21"
Comme on le voit sur le cliché, le port d'attache est Bâle et le bateau navigue sous pavillon helvètique. Après avoir quitté Bâle le 16 octobre 2006, Sun 21 descend le Rhin et atteint Rotterdam le 26 octobre. Il y est embarqué sur le cargo Joanna afin de gagner Cadix d’où doit avoir lieu le départ de la tentative transatlantique. C’est le 3 décembre que ce départ s’effectue ; le bateau visitera successivement l’archipel des Canaries, la Martinique, la République Dominicaine, les Bahamas et la Floride avant d’arriver à New York où il accostera à la marina de North Cove, près de Battery Park le 8 mai 2007. Il aura parcouru 7 000 milles.
La marcophilie aussi s'intéresse aux paquebots
La marcophilie est la collection des marques, flammes et oblitérations apposées sur des objets postaux.
Assez naturellement, elle s’intéresse aussi au transport du courrier et, donc, à la marine.
J’ai ainsi trouvé dans Les feuilles marcophiles (elles paraissent encore et ont même un site) des sujets aussi pointus que «Les premiers paquebots à vapeur transatlantiques 1840-1868»
ou une autre étude de Henri Tristan, de l'académie de philatélie, portant sur «La desserte des colonies françaises par les paquebots réguliers britanniques de 1849 à 1863».
Sur le numéro ci-dessus, l'illustration présente le SS Ripon de 1908 tonnes à son arrivée à Southampton le 3avril 1864. Il avait à son bord le général Garibaldi et sa suite.
Assez naturellement, elle s’intéresse aussi au transport du courrier et, donc, à la marine.
J’ai ainsi trouvé dans Les feuilles marcophiles (elles paraissent encore et ont même un site) des sujets aussi pointus que «Les premiers paquebots à vapeur transatlantiques 1840-1868»
ou une autre étude de Henri Tristan, de l'académie de philatélie, portant sur «La desserte des colonies françaises par les paquebots réguliers britanniques de 1849 à 1863».
Sur le numéro ci-dessus, l'illustration présente le SS Ripon de 1908 tonnes à son arrivée à Southampton le 3avril 1864. Il avait à son bord le général Garibaldi et sa suite.
La marcophilie aussi s'intéresse aux paquebots
La marcophilie est la collection des marques, flammes et oblitérations apposées sur des objets postaux.
Assez naturellement, elle s’intéresse aussi au transport du courrier et, donc, à la marine.
J’ai ainsi trouvé dans Les feuilles marcophiles (elles paraissent encore et ont même un site) des sujets aussi pointus que «Les premiers paquebots à vapeur transatlantiques 1840-1868»
ou une autre étude de Henri Tristan, de l'académie de philatélie, portant sur «La desserte des colonies françaises par les paquebots réguliers britanniques de 1849 à 1863».
Sur le numéro ci-dessus, l'illustration présente le SS Ripon de 1908 tonnes à son arrivée à Southampton le 3avril 1864. Il avait à son bord le général Garibaldi et sa suite.
Assez naturellement, elle s’intéresse aussi au transport du courrier et, donc, à la marine.
J’ai ainsi trouvé dans Les feuilles marcophiles (elles paraissent encore et ont même un site) des sujets aussi pointus que «Les premiers paquebots à vapeur transatlantiques 1840-1868»
ou une autre étude de Henri Tristan, de l'académie de philatélie, portant sur «La desserte des colonies françaises par les paquebots réguliers britanniques de 1849 à 1863».
Sur le numéro ci-dessus, l'illustration présente le SS Ripon de 1908 tonnes à son arrivée à Southampton le 3avril 1864. Il avait à son bord le général Garibaldi et sa suite.
samedi 23 février 2008
USS Lexington CV-16
A l’heure ou nombre d’entre nous regrettent que nous n’ayons pas pu, su ou voulu faire quelque chose du France Norway Blue Lady, l’un de nos lecteurs d'outre-mer, Alfred Neuman, nous a fait parvenir cette carte postale du USS Lexington CV-16 et nous a soumis quelques réflexions.
Depuis 1992, ce porte-avions est à quai à Corpus Christi au Texas. Transformé en musée, il se situe pas loin de l’aquarium d’état et de la plage de Corpus Christi (port dont les liens avec la Navy et l’aéronavale sont très forts), ce qui doit faciliter son exploitation commerciale.
Au début des années quatre-vingt-dix, l’USS Lexington a été remplacé par l’USS Forrestal comme navire école.
Pour sauver The blue Ghost (surnommé ainsi car il a su échapper aux nombreuses tentatives japonaises pour le couler), les associations communautaires du port texan ont trouvé trois millions de dollars pour en faire un musée qui abrite aussi un musée de l’aviation réputé.
Ses gestionnaires, sur leur site, affirment que, depuis son lancement, le musée n’a jamais reçu un dollar de subvention, vivant de donations privées et des activités nombreuses qu’ils développent. En particulier, un programme nocturne destiné aux jeunes qui a beaucoup de succès. Voir le site officiel du musée du USS Lexington.
Bien entendu, nous pouvons toujours rêver mais autre lieu, autres mœurs, là-bas, c’est l’Amérique.
Rappelons, un, que les Américains sont les inventeurs des Disney Lands et autres parcs de loisirs et qu'ils sont friants de ce genre d’attractions. Deux, que le système du fund raising (la récolte de fonds) n’est pas considéré comme amoral et est étroitement lié au capitalisme ambiant (lui-aussi non ostracisé). Trois, que les subventions privées sont très largement défiscalisées.
Bref, cette histoire ne se passe pas chez nous !
Depuis 1992, ce porte-avions est à quai à Corpus Christi au Texas. Transformé en musée, il se situe pas loin de l’aquarium d’état et de la plage de Corpus Christi (port dont les liens avec la Navy et l’aéronavale sont très forts), ce qui doit faciliter son exploitation commerciale.
Au début des années quatre-vingt-dix, l’USS Lexington a été remplacé par l’USS Forrestal comme navire école.
Pour sauver The blue Ghost (surnommé ainsi car il a su échapper aux nombreuses tentatives japonaises pour le couler), les associations communautaires du port texan ont trouvé trois millions de dollars pour en faire un musée qui abrite aussi un musée de l’aviation réputé.
Ses gestionnaires, sur leur site, affirment que, depuis son lancement, le musée n’a jamais reçu un dollar de subvention, vivant de donations privées et des activités nombreuses qu’ils développent. En particulier, un programme nocturne destiné aux jeunes qui a beaucoup de succès. Voir le site officiel du musée du USS Lexington.
Bien entendu, nous pouvons toujours rêver mais autre lieu, autres mœurs, là-bas, c’est l’Amérique.
Rappelons, un, que les Américains sont les inventeurs des Disney Lands et autres parcs de loisirs et qu'ils sont friants de ce genre d’attractions. Deux, que le système du fund raising (la récolte de fonds) n’est pas considéré comme amoral et est étroitement lié au capitalisme ambiant (lui-aussi non ostracisé). Trois, que les subventions privées sont très largement défiscalisées.
Bref, cette histoire ne se passe pas chez nous !
USS Lexington CV-16
A l’heure ou nombre d’entre nous regrettent que nous n’ayons pas pu, su ou voulu faire quelque chose du France Norway Blue Lady, l’un de nos lecteurs d'outre-mer, Alfred Neuman, nous a fait parvenir cette carte postale du USS Lexington CV-16 et nous a soumis quelques réflexions.
Depuis 1992, ce porte-avions est à quai à Corpus Christi au Texas. Transformé en musée, il se situe pas loin de l’aquarium d’état et de la plage de Corpus Christi (port dont les liens avec la Navy et l’aéronavale sont très forts), ce qui doit faciliter son exploitation commerciale.
Au début des années quatre-vingt-dix, l’USS Lexington a été remplacé par l’USS Forrestal comme navire école.
Pour sauver The blue Ghost (surnommé ainsi car il a su échapper aux nombreuses tentatives japonaises pour le couler), les associations communautaires du port texan ont trouvé trois millions de dollars pour en faire un musée qui abrite aussi un musée de l’aviation réputé.
Ses gestionnaires, sur leur site, affirment que, depuis son lancement, le musée n’a jamais reçu un dollar de subvention, vivant de donations privées et des activités nombreuses qu’ils développent. En particulier, un programme nocturne destiné aux jeunes qui a beaucoup de succès. Voir le site officiel du musée du USS Lexington.
Bien entendu, nous pouvons toujours rêver mais autre lieu, autres mœurs, là-bas, c’est l’Amérique.
Rappelons, un, que les Américains sont les inventeurs des Disney Lands et autres parcs de loisirs et qu'ils sont friants de ce genre d’attractions. Deux, que le système du fund raising (la récolte de fonds) n’est pas considéré comme amoral et est étroitement lié au capitalisme ambiant (lui-aussi non ostracisé). Trois, que les subventions privées sont très largement défiscalisées.
Bref, cette histoire ne se passe pas chez nous !
Depuis 1992, ce porte-avions est à quai à Corpus Christi au Texas. Transformé en musée, il se situe pas loin de l’aquarium d’état et de la plage de Corpus Christi (port dont les liens avec la Navy et l’aéronavale sont très forts), ce qui doit faciliter son exploitation commerciale.
Au début des années quatre-vingt-dix, l’USS Lexington a été remplacé par l’USS Forrestal comme navire école.
Pour sauver The blue Ghost (surnommé ainsi car il a su échapper aux nombreuses tentatives japonaises pour le couler), les associations communautaires du port texan ont trouvé trois millions de dollars pour en faire un musée qui abrite aussi un musée de l’aviation réputé.
Ses gestionnaires, sur leur site, affirment que, depuis son lancement, le musée n’a jamais reçu un dollar de subvention, vivant de donations privées et des activités nombreuses qu’ils développent. En particulier, un programme nocturne destiné aux jeunes qui a beaucoup de succès. Voir le site officiel du musée du USS Lexington.
Bien entendu, nous pouvons toujours rêver mais autre lieu, autres mœurs, là-bas, c’est l’Amérique.
Rappelons, un, que les Américains sont les inventeurs des Disney Lands et autres parcs de loisirs et qu'ils sont friants de ce genre d’attractions. Deux, que le système du fund raising (la récolte de fonds) n’est pas considéré comme amoral et est étroitement lié au capitalisme ambiant (lui-aussi non ostracisé). Trois, que les subventions privées sont très largement défiscalisées.
Bref, cette histoire ne se passe pas chez nous !
FPSO
Nous publions aujourd'hui les clichés de deux FPSO de la compagnie Sevan Marine
Les clichés de FPSO sont souvent impressionnants par leur caractère inhabituel. C'est également le cas des unités de stokage et de production de la compagnie Sevan Marine que nous publions ici.
Sevan Hummingbird baptisé le 24 octobre 2007 au chantier Verolme de Rotterdam
Sevan Voyageur quittant le chantier chinois de Yantal Raffles.
(Clichés Sevan Marine)
L'évolution des FPSO et des autres types de navires utilisés dans l'exploitation off-shore sont détaillés dans le livre "Navires Spécialisés" édité par MDV (voir Liens).
Les clichés de FPSO sont souvent impressionnants par leur caractère inhabituel. C'est également le cas des unités de stokage et de production de la compagnie Sevan Marine que nous publions ici.
Sevan Hummingbird baptisé le 24 octobre 2007 au chantier Verolme de Rotterdam
Sevan Voyageur quittant le chantier chinois de Yantal Raffles.
(Clichés Sevan Marine)
L'évolution des FPSO et des autres types de navires utilisés dans l'exploitation off-shore sont détaillés dans le livre "Navires Spécialisés" édité par MDV (voir Liens).
jeudi 21 février 2008
Voiles de légende
Très attendu, le dernier livre de photos de Gérard Fournier, Voiles de légende, sera dans les bacs des libraires vers la mi-mars 2008.
Les grands voiliers de plaisance, cotres, goélettes, sloops, yawls, ketchs… classes J et JI, sont des chefs-d’œuvre d’architecture navale du début du xxe siècle, visibles seulement lors de grands rassemblements qui attirent de plus en plus de monde, comme celui des Voiles de Saint-Tropez (la Nioulargue) à l’automne.
De 6 à 23 mètres et jusqu’à 40 mètres pour les plus grands, cotres, sloops, yawls, ketchs, se côtoient dans de merveilleux spectacles de manoeuvres aussi hardies que délicates lors de ces régates disputées avec acharnement, mais toujours dans le respect de l’adversaire ; l’essentiel n’est-il pas de partager et de transmettre le goût des belles choses ?
Gérard Fournier nous fait découvrir une trentaine des plus célèbres de ces voiles de légende : Astra, Cambria, Candida, Endeavour, Flica II, Hallowen, Hygie, Ikra, Karenita, Mariquita, Moonbeam III, Orion, Shamrock V, Sovereign, Thendara, Tomahawk, Trivia, Tviga, Velsheda, Vim, Zaca… sans oublier le Pen Duick d’Éric Tabarly…
Au travers de ses superbes images, il rend hommage aux marins aventureux qui font naviguer ces yachts sur toutes les mers du monde, mais aussi à ces architectes passionnés qui les ont construits et restaurés.
Gérard Fournier, photographe à Concarneau, est aussi l’auteur de Sardiniers au travail et de Chalutiers dans la tempête (chez MDV).
Voiles de légende
Très attendu, le dernier livre de photos de Gérard Fournier, Voiles de légende, sera dans les bacs des libraires vers la mi-mars 2008.
Les grands voiliers de plaisance, cotres, goélettes, sloops, yawls, ketchs… classes J et JI, sont des chefs-d’œuvre d’architecture navale du début du xxe siècle, visibles seulement lors de grands rassemblements qui attirent de plus en plus de monde, comme celui des Voiles de Saint-Tropez (la Nioulargue) à l’automne.
De 6 à 23 mètres et jusqu’à 40 mètres pour les plus grands, cotres, sloops, yawls, ketchs, se côtoient dans de merveilleux spectacles de manoeuvres aussi hardies que délicates lors de ces régates disputées avec acharnement, mais toujours dans le respect de l’adversaire ; l’essentiel n’est-il pas de partager et de transmettre le goût des belles choses ?
Gérard Fournier nous fait découvrir une trentaine des plus célèbres de ces voiles de légende : Astra, Cambria, Candida, Endeavour, Flica II, Hallowen, Hygie, Ikra, Karenita, Mariquita, Moonbeam III, Orion, Shamrock V, Sovereign, Thendara, Tomahawk, Trivia, Tviga, Velsheda, Vim, Zaca… sans oublier le Pen Duick d’Éric Tabarly…
Au travers de ses superbes images, il rend hommage aux marins aventureux qui font naviguer ces yachts sur toutes les mers du monde, mais aussi à ces architectes passionnés qui les ont construits et restaurés.
Gérard Fournier, photographe à Concarneau, est aussi l’auteur de Sardiniers au travail et de Chalutiers dans la tempête (chez MDV).
Revue de presse du 20 janvier 2008
Le site de la semaine : Les secrets de Secret Défense
Créé par un journaliste de Libération, Jean-Dominique Merchet, ce blog pour lequel «Rien de ce qui est kaki, bleu marine ou bleu ciel ne nous sera étranger. Repos ! » ne pouvait pas nous laisser indifférent. En ce moment, lire un article du 16 février sur le nouveau commando Kieffer.
Sur votre agenda
Les 16 et 17 avril
Organisé par Clic&Sea, un site de recrutement dans l’emploi naval et maritime
Le premier salon du recrutement des métiers de la mer,
se tiendra Espace Champerret, à Paris 17e
Au sommaire
- Des milliers d’engins explosifs traînent encore dans nos mers
- Le retour de la lutte des classes à bord des paquebots
- Le Guip enfin dans ses murs
- La flotte japonaise n’est peut-être plus à la hauteur
- Vent portant pour Aker Yards Cabins
- Le Havre veut former plus d’officiers de marine
- La marine de guerre chinoise a été la première mondiale
- On a retrouvé la flotte sous-marine perdue d’Hitler
- Le kitsurf du MS Beluga Skysails en vidéo
200 000 engins explosifs traînent encore dans nos mers
Lu dans Ouest-France, un intéressant article sur la recherche d’engins explosifs à bord de La Lyre.
Jean-Baptiste Gaudey raconte la chasse aux ombres dans le chasseur de mine en fibre de verre, bourré de matériel électronique. Faute de ramener une mine à tout les coups, l’équipage pratique des relevés de fonds marins qui seront bien utiles à la navigation.
Le retour de la lutte des classes à bord des paquebots
Dans le Figaro.fr Voyages, on est ravi que «les paquebots jouent la carte VIP». Le fin du fin serait maintenant de «faire une croisière en toute intimité, à l’écart des autres passagers». Dans cette nouvelle lutte des classes, le MSC Fantasia offrira 99 suites avec terrasses privatives sur ses 1634 cabines. Le pont supérieur serait réservé à ces privilégiés, ainsi qu’un bar, une piscine, un solarium, un salon Wi-Fi… et un ascenseur direct pour le spa. Tout ça nous a un petit air de Titanic !
Mais au moins les choses seront claires car, cela fait longtemps que, de manière plus discrète, o tempo o mores, la plupart des compagnies réservaient un service personnalisé à leur clientèle huppée.
Le Guip enfin dans ses murs
S’il est une aventure intéressante dans le domaine de la restauration/conservation de bateaux anciens, c’est bien celle du chantier du Guip à Brest. Il méritait ses nouveaux locaux, c’est fait, nous apprend Ouest-France.
Ses 1500 m2 où travaillent dix-huit charpentiers de marine, abritent aussi un petit musée de la marine qui sera visible à travers la nouvelle façade vitrée. On y trouvera, entre autres, le Saint-Jean, bateau de Brest classé monument historique, Hoshi, une goélette de Nicholson de 1909, le Wings, un 12 mètres J anglais qui doit rentrer prochainement.
La flotte japonaise n’est peut-être plus à la hauteur
Dans notre série «Nous mettons en doute les idées reçues sur les forces navales», après la Russie, je demande le Japon. C’est sur le site Aujourd’hui le Japon que l’on trouve l'interrogation : « La collision entre un destroyer ultra-sophistiqué et un bateau de pêche au sud de Tokyo pose la question de la capacité du Japon à assurer sa sécurité et à répondre à une attaque terroriste, à quelques mois d’un sommet du G8 sur l’île de Hokkaido.»
Vent portant pour Aker Yards Cabins
La filiale du chantier naval embauche. Ses huit lignes de production devraient sortir 6000 cabines par an fin 2008 et le carnet de commandes est plein jusqu’à 2010. Et qui dit cabines de paquebots, dit paquebots, un bon signe pour l’industrie de la croisière. A lire sur Maville.com.
Le Havre veut former plus d’officiers de marine
Dans une précédente revue de presse, nous avions mentionné le déficit grandissant dans le recrutement d’officiers de marine. Le port autonome du Havre, fort de ses bons résultats, va essayer d’y remédier. l’Ecole nationale de la marine marchande de Sainte- Adresse devrait passer d’une capacité d’accueil de 350 élèves à près de 1000-1200 dans les cinq ans et devrait déménager pour s’agrandir. Plus d’infos sur Drakkaronline.com.
Assez bizarrement, et c’est peut-être une autre réponse au problème, on apprend sur ce même site que le porte-conteneurs danois Eugen Maersk – le plus grand au monde dans cette catégorie (397 m et une capacité de 11 000 boîtes) –, qui faisait escale au Havre ce mercredi, est armé par seulement treize officiers et marins !
La marine chinoise a été la première du monde
Pour les amoureux d’histoire, sur le site Agoravox, le parcours millénaire de la flotte chinoise. Très intéressant et, en ce qui me concerne, riche en informations. En fouillant sur le site, vous trouverez nombre d’articles développant le sujet ou concernant la mer.
On a retrouvé la flotte sous-marine perdue d’Hitler
Les trois U-boats allemands qui s’étaient sabordés en Mer noire à la fin de la Seconde Guerre mondiale, ont été retrouvé indique le Portail des sous-marins.
Ils faisaient partie d’une flotte de sous-marins de la Baltique transportée par la route et les cours d’eau de Kiel à Constanza en Roumanie. Un chemin sans retour. Lire cet article bien documenté.
Le kitsurf du MS Beluga Skysails en vidéo
Nous avons déjà parlé de ce prototype de cargo à voile mais Imaginascience
développe le thème en l’illustrant de vidéos prises sur YouTube.
Créé par un journaliste de Libération, Jean-Dominique Merchet, ce blog pour lequel «Rien de ce qui est kaki, bleu marine ou bleu ciel ne nous sera étranger. Repos ! » ne pouvait pas nous laisser indifférent. En ce moment, lire un article du 16 février sur le nouveau commando Kieffer.
Sur votre agenda
Les 16 et 17 avril
Organisé par Clic&Sea, un site de recrutement dans l’emploi naval et maritime
Le premier salon du recrutement des métiers de la mer,
se tiendra Espace Champerret, à Paris 17e
Au sommaire
- Des milliers d’engins explosifs traînent encore dans nos mers
- Le retour de la lutte des classes à bord des paquebots
- Le Guip enfin dans ses murs
- La flotte japonaise n’est peut-être plus à la hauteur
- Vent portant pour Aker Yards Cabins
- Le Havre veut former plus d’officiers de marine
- La marine de guerre chinoise a été la première mondiale
- On a retrouvé la flotte sous-marine perdue d’Hitler
- Le kitsurf du MS Beluga Skysails en vidéo
200 000 engins explosifs traînent encore dans nos mers
Lu dans Ouest-France, un intéressant article sur la recherche d’engins explosifs à bord de La Lyre.
Jean-Baptiste Gaudey raconte la chasse aux ombres dans le chasseur de mine en fibre de verre, bourré de matériel électronique. Faute de ramener une mine à tout les coups, l’équipage pratique des relevés de fonds marins qui seront bien utiles à la navigation.
Le retour de la lutte des classes à bord des paquebots
Dans le Figaro.fr Voyages, on est ravi que «les paquebots jouent la carte VIP». Le fin du fin serait maintenant de «faire une croisière en toute intimité, à l’écart des autres passagers». Dans cette nouvelle lutte des classes, le MSC Fantasia offrira 99 suites avec terrasses privatives sur ses 1634 cabines. Le pont supérieur serait réservé à ces privilégiés, ainsi qu’un bar, une piscine, un solarium, un salon Wi-Fi… et un ascenseur direct pour le spa. Tout ça nous a un petit air de Titanic !
Mais au moins les choses seront claires car, cela fait longtemps que, de manière plus discrète, o tempo o mores, la plupart des compagnies réservaient un service personnalisé à leur clientèle huppée.
Le Guip enfin dans ses murs
S’il est une aventure intéressante dans le domaine de la restauration/conservation de bateaux anciens, c’est bien celle du chantier du Guip à Brest. Il méritait ses nouveaux locaux, c’est fait, nous apprend Ouest-France.
Ses 1500 m2 où travaillent dix-huit charpentiers de marine, abritent aussi un petit musée de la marine qui sera visible à travers la nouvelle façade vitrée. On y trouvera, entre autres, le Saint-Jean, bateau de Brest classé monument historique, Hoshi, une goélette de Nicholson de 1909, le Wings, un 12 mètres J anglais qui doit rentrer prochainement.
La flotte japonaise n’est peut-être plus à la hauteur
Dans notre série «Nous mettons en doute les idées reçues sur les forces navales», après la Russie, je demande le Japon. C’est sur le site Aujourd’hui le Japon que l’on trouve l'interrogation : « La collision entre un destroyer ultra-sophistiqué et un bateau de pêche au sud de Tokyo pose la question de la capacité du Japon à assurer sa sécurité et à répondre à une attaque terroriste, à quelques mois d’un sommet du G8 sur l’île de Hokkaido.»
Vent portant pour Aker Yards Cabins
La filiale du chantier naval embauche. Ses huit lignes de production devraient sortir 6000 cabines par an fin 2008 et le carnet de commandes est plein jusqu’à 2010. Et qui dit cabines de paquebots, dit paquebots, un bon signe pour l’industrie de la croisière. A lire sur Maville.com.
Le Havre veut former plus d’officiers de marine
Dans une précédente revue de presse, nous avions mentionné le déficit grandissant dans le recrutement d’officiers de marine. Le port autonome du Havre, fort de ses bons résultats, va essayer d’y remédier. l’Ecole nationale de la marine marchande de Sainte- Adresse devrait passer d’une capacité d’accueil de 350 élèves à près de 1000-1200 dans les cinq ans et devrait déménager pour s’agrandir. Plus d’infos sur Drakkaronline.com.
Assez bizarrement, et c’est peut-être une autre réponse au problème, on apprend sur ce même site que le porte-conteneurs danois Eugen Maersk – le plus grand au monde dans cette catégorie (397 m et une capacité de 11 000 boîtes) –, qui faisait escale au Havre ce mercredi, est armé par seulement treize officiers et marins !
La marine chinoise a été la première du monde
Pour les amoureux d’histoire, sur le site Agoravox, le parcours millénaire de la flotte chinoise. Très intéressant et, en ce qui me concerne, riche en informations. En fouillant sur le site, vous trouverez nombre d’articles développant le sujet ou concernant la mer.
On a retrouvé la flotte sous-marine perdue d’Hitler
Les trois U-boats allemands qui s’étaient sabordés en Mer noire à la fin de la Seconde Guerre mondiale, ont été retrouvé indique le Portail des sous-marins.
Ils faisaient partie d’une flotte de sous-marins de la Baltique transportée par la route et les cours d’eau de Kiel à Constanza en Roumanie. Un chemin sans retour. Lire cet article bien documenté.
Le kitsurf du MS Beluga Skysails en vidéo
Nous avons déjà parlé de ce prototype de cargo à voile mais Imaginascience
développe le thème en l’illustrant de vidéos prises sur YouTube.
mardi 19 février 2008
Aceh Indonésie
Aceh est tristement célèbre pour le tsunami de décembre 2004.
Je vous envoie des photos un peu plus gaies de cette région et de ces jolis bateaux de pêche dont la forme est très élégante. Je sais qu'ils existent en très grande taille aussi dans le port de Djakarta, mais je n'avais pas d'appareil photo sur moi. Avis aux photographes de passage en Indonésie : je suis sûre que cela ferait de très beaux clichés.
Selon ma collègue Ibu Dinihari, les gerbes de feuilles sur les bateaux servent à la pêche de nuit : ce sont les supports flottants des lumières qui attirent les poissons.
Aceh Indonésie
Aceh est tristement célèbre pour le tsunami de décembre 2004.
Je vous envoie des photos un peu plus gaies de cette région et de ces jolis bateaux de pêche dont la forme est très élégante. Je sais qu'ils existent en très grande taille aussi dans le port de Djakarta, mais je n'avais pas d'appareil photo sur moi. Avis aux photographes de passage en Indonésie : je suis sûre que cela ferait de très beaux clichés.
Selon ma collègue Ibu Dinihari, les gerbes de feuilles sur les bateaux servent à la pêche de nuit : ce sont les supports flottants des lumières qui attirent les poissons.
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